Tatiana Silva évoque son interruption volontaire de grossesse, "ce n'est pas un acte anodin"

La vie de Tatiana Silva a basculé pour le meilleur il y a maintenant plusieurs jours. La miss météo qui s'était retirée de l'antenne de TF1 au début du mois a donné naissance à son premier enfant. C'est un petit garçon prénommé June qui a pointé le bout de son nez à en croire les informations d'Anne-Claire Coudray partagée à la fin de son JT le 26 janvier dernier. Tatiana Silva prend quant à elle soin de ne pas trop en dire sur tout ce qui entoure son bébé, tout en restant toutefois active sur ses réseaux sociaux.

Elle y communique sur ses nuits courtes mais aussi ses astuces pour garder la forme malgré tout. Tout récemment, elle a même évoqué très brièvement le papa de June. Bref, c'est un nouveau quotidien pour Tatiana Silva, entamé à l'aube de ses 40 ans (qu'elle fête ce mercredi 5 février 2025), et qu'elle avait craint de connaître à cet âge.

En effet, la belle brune a reconnu en interview pour Paris Match, parue le 16 janvier 2025, avoir ressenti beaucoup d'angoisse à l'idée d'être enceinte à cette période de sa vie. Et en même temps, avoir un enfant est apparu comme une évidence pour elle, des années après avoir connu la douleur d'un avortement. "Je suis contente qu'existe en France la possibilité d'avorter mais c'est vraiment un passage douloureux. Ce n'est pas un acte anodin. Je me suis parfois dit 'je n'aurais pas dû' ou 'peut-être que c'est pour cela que je n'ai pas d'enfants' puis j'ai travaillé, je me suis détendue et détachée", a-t-elle confié à nos confrères.

Un sujet sensible sur lequel elle s'était déjà épanchée dans son livre autobiographique Tout commence par soi (éd. Albin Michel), sorti en 2021. "En fait, quand je suis tombée enceinte, l’idée d’avoir à m’occuper de quelqu’un d’autre que moi était inconcevable. Je n’étais pas du tout mature", reconnaît-elle à travers les pages de son ouvrage, expliquant s'être sentie "trop jeune et trop égoïste" à l'époque pour endosser la responsabilité d'être mère. Pour June, les choses sont aujourd'hui bien différentes.