1 / 18
"Je le menais en bateau" : Nadine de Rothschild courtisée par une légende de la chanson française
2 / 18

En 90 ans, la baronne Nadine de Rothschild a vu défiler les hommes.
Archives - Portrait de Nadine de Rothschild. © Cédric Perrin / Bestimage
© BestImage
3 / 18

C'est à Edmond de Rothschild qu'elle a été mariée de 1963 jusqu'à la mort de ce dernier en 1997.
Nadine de Rothschild et son époux Edmond au Fouquet's à Megève en 1987
© BestImage
4 / 18

Georges Brassens lui aurait écrit la chanson "Une jolie fleur".
Archives de Georges Brassens.
© BestImage
5 / 18

C'est en tout cas ce que Nadine de Rothschild raconte aujourd'hui au Figaro pour la promotion de son 15e livre.
"Très chères baronnes" de Rothschild de Nadine de Rothschild et Eric Jansen aux éditions Gourcuff Gradenigo.
© DR
6 / 18

Nadine de Rothschild a fait tourner Georges Brassens en bourrique.
Nadine de Rothschild - Emission Le Plus Grand Cabaret du Monde en 2009
© BestImage
7 / 18

Georges Brassens espérait dîner avec elle mais ça n'est jamais arrivé.
Archives du chanteur Georges Brassens.
© BestImage
8 / 18

Archives - Georges Brassens.
© BestImage
9 / 18

Archives de Nadine de Rothschild
© BestImage
10 / 18

Cyril Vergniol, Nadine de Rothschild, Stéphane Bern - Remise du prix Scopus 2008 au palais Brongniart
© BestImage
11 / 18

Nadine de Rothschild et Gérald Azaria à Roland-Garros en 2006
© BestImage
12 / 18

Nadine de Rothschild à Cannes en 2005
© BestImage
13 / 18

Nadine de Rothschild - Défilé Valentino pour la collection automne-hiver 2002-2003
© BestImage
14 / 18

Nadine de Rothschild - Sommet musicaux à Gstaad en 2001
© BestImage
15 / 18

Nadine de Rothschild - Bal des débutantes en 1986
© BestImage
16 / 18

Nadine de Rothschild et son mari Edmond à Paris en 1969
© BestImage
17 / 18

Archives - Le baron Edmond et sa femme la baronne Nadine de Rothschild au Fouquet's à Megève. 1997.
© BestImage, AGENCE / BESTIMAGE
18 / 18

Rien ne laissait présager cette jolie retraite du côté de la confédération helvétique.
Nadine de Rothschild en mars 2005.
© Abaca