Ex-star des Marseillais, Jessica Thivenin est maman de deux enfants, Maylone et Leewane, fruits de ses amours avec Thibault Garcia. Ce soir, dimanche 17 septembre, à 21h05, France 5 diffusera Enfants sous influence : surexposés au nom du like. La jeune femme, très active sur Instagram avec ses plus de 6 millions d'abonnés, a accepté de se confier aux caméras de France Télévisions. Ce documentaire questionnera l'impact sur les jeunes concernés et les dangers qu'ils encourent face à la publication de leurs photos sur les réseaux sociaux, par leurs parents, sans leur consentement.
À ce sujet, Jessica est plutôt cash. "Je n'ai pas l'impression qu'on met nos enfants en danger parce qu'ils apparaissent dans nos stories en train de faire une partie de football et tirer dans un ballon", débute-t-elle. Puis d'ajouter : "On ne s'imagine pas qu'il y ait des gens bizarres sur les réseaux sociaux, c'est vrai qu'il y en a mais on ne pense pas à ceux-là." La maman influenceuse, qui a récemment dévoilé des clichés de ses deux jeunes enfants sur Instagram, n'est en rien inquiète de leur médiatisation. Elle précise : "On espère que nos enfants seront fiers de nous plus tard parce qu'on n'a pas eu la chance de grandir, que ce soit mon mari ou moi, dans les mêmes conditions. J'ai grandi en caravane, je ne suis jamais partie en vacances, j'ai eu un passeport à 24 ans."
Si leur vie est une horreur
L'influenceuse est plutôt transparente puisqu'elle explique partager sa vie de manière frénétique pour augmenter le niveau de vie de ses bambins. "On partage notre vie pour gagner de l'argent et mettre à l'abri notre famille, ce qui est le plus important, bien entendu", assure l'épouse de Thibault Garcia. Quant au fait que ses enfants pourraient lui en vouloir plus tard d'avoir partagé des clichés d'eux sans leur autorisation, la maman avoue ne pas vraiment y avoir pensé. "C'est vrai que je n'ai jamais pensé à ce que mes enfants puissent ne pas être fiers ou nous en vouloir de les avoir montrés", reconnaît Jessica. Elle nuance : "On a quand même fait les choses correctement, on est des personnes simples (...) Si leur vie est une horreur, si mon passé les dérange, ils pourront changer de nom, tant pis, je ne leur en voudrai pas."