Brigitte Bardot a perdu son chat et promet 600 euros à qui le lui rendra

Ardente partisane de la cause animale, depuis de nombreuses années Brigitte Bardot fait preuve d'une ferveur sans précédent pour défendre ses amis les bêtes. Aussi la légendaire actrice, qui a vécu toute sa vie entourée de fidèles compagnons à quatre pattes, ne pouvait-elle pas vivre de pire situation que d'égarer involontairement l'un de ses nombreux pensionnaires. Et malheureusement, pas n'importe lequel : d'après le site de Var Matin, la star de 78 ans a perdu son "chat préféré", répondant au doux nom de Rontonton et disparu aux alentours de Saint-Tropez.

Femelle âgée de 2 ans et décrite par sa propriétaire comme "petite et toute ronde mais sans collier ni tatouage", Rontonton aurait déserté la propriété de la star située dans la garrigue, jeudi 21 mars, probablement terrorisée par des opérations d'élagage y ayant eu lieu le même jour. D'après Var Matin, la jeune chatte a été aperçue à quelques encablures de la résidence de l'actrice sans toute fois être "interpellée". "Ma peine est effrayante... Je n'en dors plus", a confié, dévastée, l'icône éternelle.

Aux grands maux les grands moyens : Brigitte Bardot promet une récompense de 600 euros à qui lui ramènera son félin fétiche. Des retrouvailles espérées et attendues qui mettraient ainsi un terme à l'angoisse de l'actrice, aussi connue pour ses inoubliables apparitions cinématographiques que pour son statut de militante des droits des animaux (elle est à la tête d'une fondation portant son nom et créée il y a plus de vingt ans).

Absente des grands écrans et du grand train de vie parisien, Brigitte Bardot - qui a dû faire face en 2011 au suicide de son troisième mari Gunther Sachs - coule toujours des jours paisibles au soleil, dans le Sud de la France. Souvent mise à l'honneur dans de nombreux événements qui célèbrent son image de star incontournable du cinéma, l'actrice a fait en 2010 l'objet d'une exposition lui étant entièrement consacrée, à Saint-Tropez. Hélas, malgré le succès, on a appris hier la liquidation judiciaire de la société Akouna, à l'origine de la rétrospective phare.