Inès de la Fressange amoureuse : ''Denis Olivennes est protecteur, très galant''

La plus élégante des Française soufflera sa 55e bougie au mois d'août. Et revient sur sa vie de femme pour le magazine Marie Claire, en kiosques. Inès de la Fressange nous parle de ses blessures, de ses joies et de sa vision de la jeunesse qui n'appartient qu'à elle. Extraits d'une interview pétillante et surprenante dont on ne se lasse pas !

55 ans. Le chiffre semble grand et pourtant, Inès a le pep's et la beauté des plus jeunes. Ses habitudes ont-elles changé ? Certainement. "Je me regarde moins dans le miroir. Beaucoup moins. Je me prépare plus vite , je fais des valises plus petites", dit-elle, en précisant que la jeunesse, "c'est continuer à être curieuse, regarder les magazines, copier, savoir aimer les choses qu'on a détestées".

Parfaite à chaque sortie même si elle avoue "avoir un peu de bide", Inès de la Fressange est une femme épanouie. Maman de deux jolies filles, Nine (18 ans et déjà mannequin) et Violette (13 ans), amoureuse de son compagnon Denis Olivennes, la star égérie de la maison L'Oréal Paris confie son bonheur. "Je suis épatée par mes enfants, par l'homme avec qui je partage ma vie. Je ne sais pas comment le nommer, 'mon ami' ? C'est un tout petit peu plus qu'un ami, quand même..." Et de poursuivre : "Je crois que je le fais rigoler. Je suis amoureuse, honnête, fidèle. Et gentille, car il a tort bien plus souvent que moi, et je laisse filer ! (...) Ce qui me surprend un peu, c'est le côté macho de Denis, mais macho sans misogynie. Il est protecteur, prend les choses en main, trouve des solutions. Il est très galant, m'offre des bijoux et des fleurs."

Aujourd'hui sur un petit nuage, Inès partage aussi sa plus grande blessure : la mort du papa de ses filles, Luigi d'Urso, en 2006. "A la disparition de Luigi, (...) je m'habillais en noir tout le temps, je n'avais pas envie de m'habiller autrement. Et puis Nine et Violette m'ont dit : Maman, on en a marre de voir avec ton pull noir'. Elles voulaient que je vive", confie-t-elle.

Une interview franche et sans détour, à retrouver en intégralité dans le magazine Marie Claire.