






Visage emblématique du paysage audiovisuel français, Christophe Dechavanne a fait les belles heures de TF1 durant les années 90 et 2000. Sur l'antenne de la première chaîne, l'animateur a incarné des émissions à succès comme : Une famille en or, La Roue de la Fortune, Coucou c'est nous !, ou bien encore Ciel mon mardi !. Mais depuis 2022, c'est du côté du service public que le présentateur officie. En effet, il est l'invité permanent de Léa Salamé dans l'émission Quelle époque !, diffusée chaque samedi en deuxième partie de soirée sur France 2. Samedi 18 janvier 2025, Christophe Dechavanne était présent sur le plateau du talk-show de l'animatrice pour un nouveau numéro. Au cours du programme, Léa Salamé a organisé un blind test avec ses invités sur les chanteurs belges à succès.
Durant ce petit intermède musical, la journaliste a notamment diffusé à l'antenne le célèbre tube de Plastic Bertrand intitulé Ça plane pour moi. C'est à ce moment-là que Christophe Dechavanne a pris la parole pour dévoiler une étonnante information au sujet de la star des années 80. "La légende veut que ce n'était pas Plastic Bertrand qui chantait", a premièrement lancé l'ancien animateur de TF1. "Allez une polémique !", s'est alors exclamé Léa Salamé en plateau. "La légende a toujours dit que des millions de disques ont été vendus avec Plastic Bertrand, alors que ce n'était pas sa voix. Parait-il", a ensuite insisté Christophe Dechavanne. Ce dernier a raison étant donné que le principal intéressé a reconnu lui-même qu'il n'avait pas enregistré ses propres tubes.

"Moi je veux bien dire que ce n'était pas ma voix, mais il faut alors aussi dire que tout cela a été monté de toutes pièces par Lou Deprijk", avait ainsi révélé Plastic Bertrand dans les colonnes du Parisien en 2010. "Lou Deprijk m'a demandé de fermer ma gueule en échange de 0,5% des droits, en me promettant qu'il ferait avec ma voix une nouvelle version. Ce qu'il n'a jamais fait bien sûr", avait également précisé la star des années 80. "C'est moi la victime. Je voulais chanter, mais il m'interdisait l'accès au studio", avait finalement conclu Plastic Bertrand. Le musicien avait d'ailleurs attaqué son ancien associé en justice, mais avait perdu son procès.