
Dans Les Reines du shopping (M6), chaque semaine, cinq candidates tentent de relever le défi de Cristina Cordula : défiler dans une tenue shoppée dans le respect du thème, du temps et du budget imposés. Si la plupart des participantes semblent ravies de leur expérience, d'autres estiment que le montage ne leur rend pas justice. Face aux critiques de plusieurs anciennes candidates, l'animatrice du programme a répondu lors d'un Facebook live avec le Buzz TV de TV Magazine.
"Je ne pense pas que ça déforme la réalité, mais on ne peut pas plaire à tout le monde, lance Cristina Cordula. Il y aura toujours une personne qui ne va pas être contente." Celle qui s'est mariée à son amoureux Frédéric Cassin en 2017 tient à rappeler que le tournage dure "toute une journée", et que la production est contrainte de ne garder que certaines images dans l'épisode diffusé qui ne dure "même pas une heure".
On ne change pas la nature de la personne
Toutefois, la papesse de la mode se défend de toute manipulation par le montage dans Les Reines du shopping : "On ne change pas la personne, on garde justement sa nature. Donc quand elle est un peu méchante, on garde le méchant et quand elle est gentille, on garde le gentil."
Des explications qui interviennent quelques semaines après les plaintes de plusieurs candidates de l'émission de M6. Marina, par exemple, indiquait sur Facebook que la production attribuait "un rôle" à chacune et exagérait leurs traits. De son côté, Cristelle assurait que les participantes "ne choisissent pas de parler seules devant le miroir ou de dire des trucs bêtes tout le temps", évoquant le "pire shopping de [sa] vie".
Enfin, c'est Sabine qui s'est montrée la plus virulente. "Il faut une peste de service, ça met de l'audimat, lançait-elle sur Twitter. Quand la production coupe les critiques positives pour garder les critiques négatives, il est facile de passer pour la peste capricieuse de l'émission..." Elle avait ajouté que l'image qu'elle renvoyait durant son passage dans l'émission avait eu des conséquences sur sa vie professionnelle. Cette orthoptiste confiait en effet : "Les gens ont peur de venir me voir avec leur enfant."