Manuela Lopez, grosse opération pour l'actrice qui a les "chocottes" : "On peut avoir un choc cardiaque"

Le 30 juin 2021 est une journée particulière pour Manuela Lopez. Aujourd'hui, l'ancienne actrice des Mystères de l'amour doit subir une opération. En vidéo, elle a fait peur de ses craintes à ses abonnés sur Instagram.

Sa maladie, Manuela Lopez en parle sans tabou. Le 3 juin dernier, elle a d'ailleurs sorti son livre Tako-tsubo tu as brisé mon coeur (aux éditions Michel Lafon). Elle y parle de sa cardiopathie génétique dont elle est atteinte depuis 2007 et diagnostiquée après un malaise cardiaque survenu en plein tournage. Elle y évoque également le syndrome de tako-tsubo, appelé le "syndrome des coeurs brisés" car il survient après un stress émotionnel, dont elle souffre depuis 2017. Ce mal qui la ronge lui avait valu trois hospitalisations depuis 2020.

Et ce mercredi 30 juin, la femme de 48 ans a été forcée de retourner à l'hôpital pour subir une opération comme elle l'a révélé sur son fil d'actualité Instagram. "C'est le Jour J. Grosse opération. On va m'enlever la reconstitution osseuse que j'aie dans la mâchoire pour éviter toutes les bactéries qui pourraient aller au coeur. J'ai un peu les chocottes parce qu'on peut avoir un choc cardiaque. J'espère que vous êtes avec moi et que vous me soutenez. (...) J'ai les jetons donc je compte sur vous pour m'envoyer plein de bonnes ondes", a-t-elle confié alors qu'elle se trouvait dans sa voiture. Ni une ni deux, ses fans se sont empressés de lui envoyer des messages de soutien.

Interrogée par nos confrères de Gala début juin, Manuela Lopez s'est confiée sur sa maladie incurable. Ses premiers soucis de santé ont débuté avec le syndrome de la mort subite. "Mais même si elle me fatiguait, cette maladie là ne me faisait pas mal et j'arrivais à vivre avec. En revanche, le tako-tsubo me fait souffrir physiquement. Ça brûle, ça pique, le coeur se déchire. Je suis quand même restée couchée trois mois cet hiver, je n'avais plus de force", avait-elle précisé. Même si elle préfère se concentrer sur le positif, il lui arrive, comme tout le monde, de pleurer "de peur". "Peur de perdre ce que j'ai. Peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas pouvoir emmener mon fils [Paolo, NDLR] jusqu'au bout", a-t-elle déclaré.