Éliminé de Secret Story 9 il y a quelques semaines, Nicolas a décidé de balancer sur ses ex-colocataires. Interviewé par nos confrères de Public, l'ex-Secrétiste a évoqué les pires défauts des candidats, mais aussi son altercation avec Tony.
Je ne dormirais pas sous ses aisselles
Karisma, élue candidate la plus discrète de toutes les saisons de Secret Story par Nicolas, a pris cher lors de cette interview. Lorsque Siham Bengoua a demandé au beau gosse quel joueur était le moins porté sur l'hygiène, le tatoué a répondu Karisma... et ses dessous de bras. Précisant qu'il ne s'agissait pas d'un problème de poils, Nicolas a été très explicite : "Je ne dormirais pas sous ses aisselles."
Parti pour clasher ses ex-partenaires de jeu, Nicolas a ensuite déclaré que Rémi était le plus faux de la Maison des Secrets, le qualifiant même de "traître", et Émilie la plus détestable. "C'est la plus insupportable. J'ai vu que Coralie était la personne considérée comme telle, mais je vous assure que c'est Émilie. Si elle a quelque chose contre toi, c'est une tannée. Elle va trop loin, je ne veux pas entrer dans les détails, mais je ne serai pas le seul à le dire", a-t-il confié.
S'il m'avait tapé, j'aurais tendu l'autre joue
Nicolas est ensuite revenu sur les tensions au sein de la Maison des Secrets, plus précisément sur son altercation avec Tony. "Lors de la première semaine, il y a eu des accrochages (...) des mots échangés, peut-être même des menaces. Des gens ont effectivement failli en venir aux mains. Tony et moi en faisons partie. La première semaine, j'étais tellement mis en avant que Tony se sentait effacé et disait toujours : 'Moi aussi je peux faire comme toi.' Il voulait tout le temps me clasher, mais c'est impossible car si tu me clashes, tu as perdu", a-t-il expliqué.
Confirmant que le duo a failli se battre, Nicolas explique ensuite que jamais il n'aurait répondu à son adversaire : "Il aurait pu me taper cinq fois, je n'aurais pas levé le petit doigt, parce qu'il ne faut pas oublier que nous avons un contrat de déontologie. Nous ne sommes pas là pour faire n'importe quoi, il y a des gens qui nous regardent, donc s'il m'avait tapé j'aurais tendu l'autre joue."
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