"J'en ai marre qu'on me colle l'étiquette de personnalité de télé-réalité, je suis Barbara Opsomer et je fais avant tout de la comédie et de la musique, je n'ai plus envie qu'on m'associe à autre chose", a déclaré il y a deux ans celle qui a participé à Secret Story 11 en 2017 pour annoncer qu'elle arrêtait la télé-réalité. La jolie jeune femme réalise aujourd'hui ses rêves en chansons et au cinéma - elle a notamment tourné avec Jean Reno. Mais il lui manque une chose pour être totalement heureuse, un enfant.
Sur son Instagram, entre deux photos sensuelles, on peut voir Barbara Ospomer donner le biberon à un bébé (elle collabore avec association Radia pour l'adoption des nourrissons), servir de la nourriture à des sans-abris aux côtés de la Protection Civile. Bref, elle s'engage, se tourne vers les autres et souhaite aujourd'hui adopter un enfant. En juin 2020, toujours sur le réseau social, elle évoquait cette envie : "Adopter un fils. C'est en décembre 2019, qu'on écrivait les premières lignes de notre histoire mon petit ange. On me demande souvent de raconter ce qu'il s'est passé entre nous, trop difficile de mettre les mots dessus. Mais aujourd'hui j'ai décidé de me livrer. Même si cela est encore très douloureux pour moi, je voudrais que tu saches Ali, mon petit ange, que malgré la distance je ne t'oublie pas. Je rêve au fond de moi de pouvoir te resserrer un jour dans mes bras et de t'accueillir chez moi. Tu es présent dans mes pensées à chaque seconde, mais les aléas de la vie font qu'aujourd'hui il nous est difficile d'être réunis. Tu grandis au fil des jours et je ne suis pas là pour suivre ton évolution. Seul toi peux comprendre ce que je ressens lorsque mes yeux croisent les tiens. Cet amour inconditionnel, je l'ai depuis le premier jour où je t'ai rencontré, toi pour qui on en a si peu ressenti. Aujourd'hui je m'en veux de t'avoir fait souffrir en te laissant entrevoir une porte de sortie et d'être impuissante face à ça." Si Barbara Opsomer est impuissante c'est parce qu'on lui a refusé d'adopter Ali.
"Il y a eu ce coup de coeur avec ce petit Ali qui a été magique. C'est quelque chose que je n'ai jamais ressenti dans ma vie. C'est comme deux vieilles âmes qui se rencontrent à nouveau. Ça été très fort. J'ai par la suite pensé à l'adoption parce que c'était de plus en plus dur pour moi de revenir à Paris en le laissant là-bas. Je me tordais le bide chez moi en hurlant de douleurs tellement j'avais mal. J'y allais toutes les deux semaines et sans forcément avoir beaucoup d'argent. C'était compliqué mais j'y allais quand même. Mais l'avocate en France m'a dit que c'était peine perdue d'essayer de l'adopter parce que je n'avais pas de situation professionnelle et amoureuse. L'agrément français est une catastrophe sachant qu'il y a tous ces gamins qui n'attendent que d'être aimés. Je suis d'accord, il faut faire attention à ne pas mettre des enfants dans les bras de tout le monde, mais ça a été très injuste pour moi. Ça a été très douloureux", a-t-elle révélé il y a quelques jours à Voici.
Impuissante, triste, elle a donc décidé de raconter cette histoire via son nouveau single, tout simplement appelé Ali. "J'ai écrit cette chanson parce que les gens me demandaient tout le temps où en était l'histoire et si je l'avais adopté. J'ai répondu en musique. Ça a été comme une sorte de thérapie et un message surtout pour lui montrer, quand il comprendra, qu'il y avait quelqu'un sur cette Terre qui voulait lui donner de l'amour", a-t-elle précisé à nos confrères.