Valérie Trierweiler, affaire de la gifle : La journaliste échappe à la justice !

Pas de condamnation pour Valérie Trierweiler. L'ancienne première dame et ex-compagne de François Hollande a reçu un simple rappel à la loi après avoir giflé un homme en mars dernier dans un café du XVe arrondissement, nous apprennent nos confrères de RTL.

Le parquet a en effet décidé de classer l'affaire sans suite après la plainte déposée par un homme, Mohamed Rizki, qui se plaignait d'avoir reçu une gilfe de la part de la journaliste dans un café parisien.

Selon le site d'informations, Valérie Trierweiler a simplement reçu un courrier de la part des magistrats du parquet de Paris en guise de rappel à la loi, aucune charge n'a été retenue contre elle. L'auteure du brûlot Merci pour ce moment avait été entendue par la police dans le cadre de cette affaire qui avait fait grand bruit en mars.

Se disant humilié à grand renfort de témoignages dans la presse, la victime supposée, ex-candidat UMP aux dernières municipales à Compiègne, avait pointé du doigt la réaction excessive de la femme de caractère, qui lui aurait donné une gifle alors qu'il lui avait lancé un "Comment va François Hollande ? ".

Dans VSD, son récit des faits avait néanmoins été nuancé par des témoins de la scène qui avaient déclaré qu'il n'était rien d'autre qu'un "fouteur de merde".

De son côté, la journaliste n'avait que très peu réagi à l'affaire. Sur Twitter, quelques heures après les faits supposés, elle s'était contentée d'un petit tweet qui en disait long : "Un seul mot : #stopalamuflerie !"

Invitée du 19/20 de France 3 quelques jours plus tard pour évoquer son engagement auprès du Secours populaire, elle avait simplement déclaré : "Il se passe tellement de choses graves dans le monde que je ne comprends pas qu'on monte en épingle des événements qui n'en sont pas."