Quelques jours à peine après l'exclusion d'Eugénie Journée, Miss Bretagne 2015 en lice pour l'élection de Miss France 2016, suite à la publication de photos topless, et deux mois après celle d'Ornella Bellorti (Miss Toulouse) en raisons de ses tatouages, voilà qu'un nouveau "scandale" du même acabit vient à nouveau faire parler des règles du célèbre concours de beauté...
La Dépêche du Midi révèle ce vendredi 9 octobre que la ravissante Julie Taillart a, à son tour, fait l'objet d'une destitution de son titre de Miss Haute-Garonne 2015, suite à la révélation de photos sur lesquelles elle apparaît dénudée. Cette dernière était en lice pour l'élection régionale de Miss Midi-Pyrénées, dont la gagnante représentera sa région pour le concours national diffusé en direct sur TF1 en décembre prochain.
"Sylvie Tellier, directrice de Miss France, a signifié à Julie Taillart sa disqualification eu égard à une photo discutable où on la voyait partiellement dénudée", a annoncé Alison Martin, la coach des Miss en Midi-Pyrénées. Selon le délégué régional Monsieur Lima, c'est la candidate elle-même qui a révélé l'existence de cette photo. Il évoque "un geste spontané de la part de Julie, tout à son honneur, d'avoir apporté elle-même la photo, et donc de ne pas se présenter à l'élection", dans les colonnes de La Dépêche du Midi.
Le cliché, pris dans l'intimité et n'ayant jamais été diffusé, pas même sur les réseaux sociaux, serait encore moins litigieux que celui - déjà bien soft - d'Eugénie Journée. Julie Taillart, blonde plantureuse d'un mètre quatre-vingt-deux, a préféré jouer franc jeu : "On devine juste que Julie ne porte pas de bretelles sur sa peau dénudée", précise le délégué régional. Néanmoins le réglement de Miss France est clair, et que les photos incriminées soient plus ou moins litigieuses n'y change rien. C'est comme le code de la route, on doit traverser au feu vert et pas... au feu orange !
Lors de l'élection régionale de Miss Midi-Pyrénées, qui a eu lieu de ce vendredi 9 octobre, et à l'issue d'un spectacle de plusieurs heures devant une salle bondée, c'est Emily Segouffin qui a finalement été sacrée à Castéra Verduzan.
Joachim Ohnona