Ashley Olsen, 30 ans, a craqué pour George Condo, un artiste de... 59 ans

L'amour serait-il dans l'air pour Ashley Olsen ? Officiellement célibataire depuis qu'elle a rompu avec le réalisateur Bennett Miller en janvier dernier, la célèbre créatrice de mode fréquenterait aujourd'hui un nouvel homme en toute discrétion...

L'heureux élu n'est autre que George Condo, un artiste de 59 ans très réputé dans son domaine pour ses peintures, ses dessins et ses sculptures hybrides, des oeuvres qui se nourrissent la plupart du temps de l'art ancien. Chez les people, il est notamment connu pour avoir collaboré avec Kanye West : c'est en effet lui qui avait imaginé la pochette de l'album My Beautiful Dark Twisted Fantasy, pépite sortie en 2010. Côté vie privée, il a divorcé l'an dernier d'Anna, la mère de ses deux filles, Eleonore et Raphaelle. Le duo était marié depuis vingt-sept ans.

En juin, le couple avait déjà attiré l'attention des indiscrets lors d'un rendez-vous à New York. Si les rumeurs d'une idylle avaient brièvement agité la presse, le représentant de la jeune femme de 30 ans avait toutefois assuré qu'il ne s'agissait que d'une réunion professionnelle. Ces derniers mois, George Condo a régulièrement travaillé avec les jumelles Olsen, ayant dessiné pour elle tous les plans de la nouvelle boutique de leur marque de prêt-à-porter, The Row.

Cette fois, il semblerait toutefois que la relation soit plus qu'amicale, du moins si l'on en croit les derniers propos rapportés par People et Page Six. Dimanche 14 août, la soeur de Mary-Kate a ainsi profité d'un dîner en tête à tête avec le peintre américain au restaurant branché Balthazar, dans le quartier de Soho. "Ils se sont assis à une jolie table située au coin, de celles qui sont généralement plus 'romantiques' et réservées pour les couples car c'est très cosy. Ils étaient clairement très proches mais pas tactiles", glisse People, qui ajoute que le porte-parole de l'artiste a refusé de commenter sa vie privée. Plus indiscret, le Page Six affirme que les tourtereaux n'ont pas eu peur de multiplier les marques d'affection en public. "C'était évident qu'il se passait quelque chose. On aurait dit qu'elle dînait avec son grand-père mais ils se tenaient les mains et se blottissaient l'un contre l'autre", conclut-on.

S.L.