Alors que Justin Bieber poursuit "tranquillement" sa tournée mondiale, intitulée Believe Tour, en Amérique du Sud, la bande-annonce de son deuxième documentaire, tiré de sa tournée et nommé Believe vient d'être mise en ligne. On peut y découvrir un jeune homme adulé et prêt à répondre à ses détracteurs.
Trois ans après le carton au box-office de Never Say Never (100 millions de dollars de recettes), les producteurs de Justin Bieber battent le fer du succès tant qu'il est encore chaud. Les fans du chanteur passeront un joyeux Noël avec lui dans les salles obscures grâce à la sortie de Believe, le 25 décembre. Dans ce deuxième documentaire entièrement axé sur la tournée du beau gosse, on peut mesurer l'ampleur de l'idolâtrie dont il est l'heureux bénéficiaire, au risque parfois de péter les plombs et ne plus toucher terre. "On a vu tellement de jeunes pop stars monter très haut et s'écraser, tu as conscience que tu peux être le suivant ?", lui demande d'ailleurs le réalisateur du documentaire, Jon M. Chu. Il faut dire qu'au cours de l'année écoulée Justin Bieber a accumulé les frasques entre agression de photographes, concerts retardés, comportement douteux et même en se faisant prendre avec des prostituées !
Dans Believe, on pourra également découvrir les commentaires de Usher, qui a découvert et lancé le chanteur, ainsi que ceux de son incontournable manager Scooter Braun. Entre moments de vérité et scènes de concerts, le documentaire devrait ravir les millions de fans de Justin Bieber, lequel traverse une mauvaise passe ces derniers jours. En effet, après s'être mis à dos ses fans argentins en piétinant "par erreur" le drapeau du pays, l'interprète de Boyfriend s'est vu confisqué son matériel de tournée par les autorités argentines après l'agression d'un photographe par ses gardes du corps.
Comme si cela ne suffisait pas, Justin Bieber reste sous le coup d'une enquête au Brésil après avoir peint des graffitis sur un mur de Rio de Janeiro sans autorisation. Traqué aux quatre coins du monde, Justin Bieber doit aussi régler une facture de 10 000 euros à l'Agence Fédérale pour la Conservation de la Nature allemande depuis que les douanes ont saisi son singe Mally, pour lequel il ne possédait aucun papier, en mars dernier.
Thomas Montet
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