





Quand elle n’est pas sur scène ou devant une caméra, Clémentine Célarié - qui est à retrouver ce lundi 9 juin à 21h10 sur TF1 dans la série Le remplaçant, qui revient avec une troisième saison - se ressource auprès de sa mère dans un hameau situé sur la presqu'île de Crozon, située dans le Finistère en face de Brest, en Bretagne (près de là où a d'ailleurs été tournée cette saison 3). ll y a soixante ans, ses parents y avaient acheté une petite maison. Avec sa mère aujourd'hui, celle qui est à nouveau célibataire s'y sent "tranquille et en paix".
C'est ce qu'elle expliquait dans l'émission du Grand Bazhart, en janvier dernier sur France 3 Bretagne. Un lien également apprécié par son fils Abraham Diallo : "Depuis que je viens à Crozon, je me sens davantage chez moi ici, où la simplicité et l'énergie m’inspirent. Il suffit de sortir et d’aller sur les chemins pour que tout semble évident."
Cet endroit, c'est un véritable petit paradis sur terre. On y trouve notamment la plage de l’Île Vierge, réputée pour ses falaises abruptes, ses eaux turquoise et son sable immaculé. Un lieu époustouflant. D'ailleurs, elle a été élue plus belle plage du monde. "Parmi les critères qui lui ont valu ce sacre : sa dimension précieuse en raison de son accessibilité, uniquement possible via la mer", indique Marie Claire.
A noter que depuis juin 2020, cet endroit n’est plus accessible au public. Cette décision résulte de plusieurs facteurs majeurs, dont la dangerosité du site : les falaises environnantes sont extrêmement instables et menacent de s’effondrer. Ce risque a déjà provoqué des accidents tragiques par le passé. Il y a également une fragilité écologique : l’écosystème local est particulièrement sensible à la présence humaine. Toute circulation hors des sentiers balisés met en péril la faune et la flore uniques de la région. Des informations communiquées sur le site Ulysse.
Pour en revenir à Clémentine Célarié, et à sa passion pour la presqu'île de Crozon, celle qui a combattu un cancer avait raconté en mai dernier à nos confrères du magazine Gala, qui ont eu du mal à caler cet entretien car elle est "en perpétuel mouvement" à Paris, avoir en revanche moins de difficulté à "rester en place" lorsqu'elle se rend en Bretagne.
Ce qui n'est toutefois pas tout à fait vrai : "Encore que... Même là-bas, j'ai besoin de marcher, de courir, d'aller me baigner. De vivre quelque chose de sensuel. Oui, c'est peut-être ca : j'ai besoin de ressentir que mon corps est en mouvement, que cela circule à l'intérieur. Le frémissement, c'est un sentiment merveilleux."