Chloe Lattanzi, accro à l'alcool : La fille d'Olivia Newton-John replonge !

Au pays des enfants de star qui partent en roue libre, nous demandons Chloe Lattanzi, fille d'Olivia Newton-John, qui a décidément bien du mal à vaincre ses démons. En mars dernier, la jeune femme de 29 ans, accro à l'alcool et à la drogue, faisait un retour triomphal sur les réseaux sociaux après une cure de désintoxication de sept mois. Visiblement dans une bonne dynamique, la blonde n'hésitait ainsi pas à documenter sa nouvelle vie saine à coups de selfies posés et de jus de légumes avalés. Seulement voilà, trois mois plus tard, Chloe Lattanzi a replongé et c'est, encore une fois, sur les réseaux sociaux qu'elle a fait part de sa rechute.

Comme le rapporte le Daily Mail, la fille d'Olivia Newton-John n'y est pas allée par quatre chemins puisque c'est sur Instagram qu'elle s'est à nouveau exprimée, publiant un énième cliché avec, en légende, un commentaire pour le moins édifiant : "Si vous êtes sobres, restez sobres. Je suis sortie hier et j'ai rendu toute ma sobriété, a-t-elle écrit. À tous ceux qui combattent cette addiction. Je vous comprends. Les autres, restez sobres. Vous ne regretterez jamais de ne pas boire."

Sur sa lancée, Chloe Lattanzi, mannequin de son état, n'a pas manqué de publier des vidéos de sa folle soirée dans un bar en compagnie d'amis. L'oeil plus très net et le comportement agité, la fille d'Olivia Newton-John ne semble plus, comme le précise le Daily Mail, être totalement maîtresse de ses mouvements et se lance dans une session de karaoké incompréhensible.

En quelques mots, pas de quoi réjouir l'ancienne star de Grease qui, ces derniers temps, avait pourtant retrouvé le sourire grâce à son projet de concerts en résidence au Flamingo Hotel de Las Vegas. Déjà meurtrie par la mort de sa soeur chérie, décédée d'un cancer, Olivia Newton-John doit donc désormais faire face à la tourmente de sa fille qui, en 2012, avait pourtant suivi une longue cure de désintoxication après une consommation excessive de substances illicites. "Je m'évanouissais. Ça pouvait m'arriver de faire la fête trois jours d'affilée, sans jamais dormir. Je ne voyais plus la différence entre la semaine et les week-ends, a livré Chloe Lattanzi au Mail on Sunday en novembre dernier. Puis c'était tellement devenu une habitude que j'étais même bourrée et déchirée devant ma mère mais je ne suis même pas sûre qu'elle s'en rendait compte tellement c'était devenu un état normal pour moi."