![Cristina Cordula - 10ème dîner LINK pour Aides au Pavillon Cambon à Paris, le 3 décembre 2018. Les acteurs incontournables de la lutte contre le sida ainsi que des personnalités du monde économique, de la culture, des médias et des associations sont présents pour ce dîner organisé par le fonds de dotation LINK au profit de l'association AIDES. L'intégralité des fonds collectés lors de ce dîner sera reversé aux actions de dépistage rapide mis en oeuvre pour l'association AIDES. LINK est un fonds de dotation crée et animé par des entrepreneurs et cadres dirigeants d'entreprise, qui ont décidé de rassembler leur determination et leurs moyens pour que soit enfin gagnée la bataille contre le sida. Créee en 1984, AIDES est l'une des plus importantes associations européennes de lutte contre le sida. © Pierre Perusseau/Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/5/34/68/95/@/4961009-cristina-cordula-10eme-diner-link-pour-580x0-2.jpg)
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Il est bien difficile de reconnaître Cristina Cordula sans sa fameuse coupe très courte qui a fait sa renommée. Le jeudi 8 août 2019, la pétillante animatrice a dévoilé une vintage photo d'elle, datant de l'époque où elle était mannequin à Rio de Janeiro. Lunettes de soleil, rouge à lèvres foncé et cheveux longs : Cristina Cordula est tout simplement méconnaissable. "Il était une fois à Rio...", a-t-elle écrit en légende de cette photo publiée sur son compte Instagram, où elle est suivie par 851 000 fans.
En section commentaires, ses abonnés indiquent que le carré est une coupe qui va particulièrement bien à Cristina Cordula. À 54 ans, la présentatrice partage parfois d'anciennes photos de l'époque où elle habitait au Brésil. En avril dernier, elle dévoilait une adorable photo d'elle étant enfant en noir et blanc. Vêtue de ballerines, arborant une coupe au bol, elle avait tout l'attirail du look de l'époque.
Nostalgique de cette époque, la reine des relookings s'était déjà livrée sur son enfance au Brésil dans les colonnes du Journal du Dimanche. "Tous les dimanches, j'allais au Maracanã avec mon père. Les matches, c'est comme la messe au Brésil. La plage, à 6 heures du matin. Ma mère nous y emmenait, mon frère et moi, avant d'aller à l'école (...) Je fais partie d'une génération qui quittait très tôt ses parents. La mode, dans les années 1980, c'était la France. Mes parents m'ont encouragée. Je me souviens encore du prix d'un Paris-Rio : 12 000 francs", s'était-elle rappelée. De beaux souvenirs pour celle qui vient d'obtenir la nationalité française.