Blitz est atypique dans le vaste univers des manga et c'est sans aucun doute ce qui fait son succès. Après un premier tome 1 sorti au printemps dernier, voici le deuxième. L'attente n'aura donc pas été trop longue pour les lecteurs...
Ce manga monégasque crée par Cédric Biscay (à la tête Shibuya productions, société de production de films d'animation et de jeux vidéo) en collaboration avec Tsukasa Mori et Daitaro Nishihara, traite des échecs. Rien d'étonnant alors d'y voir associer le nom du grand champion de la discipline, Garry Kasparov. Le joueur russe de 57 ans n'a pas seulement apporté son expertise des échecs puisqu'il apparaît dans Blitz.
Ce manga plonge le lecteur dans l'univers japonais mais aussi monégasque puisque, dans l'histoire, le héros participe à un tournoi d'échecs qui se déroule dans le mythique casino de Monte-Carlo. Pas de meilleur endroit alors pour organiser un évènement promotionnel à l'occasion du tome 2.
Cédric Biscay était bien là le 22 octobre 2020, pour présenter son nouveau chef d'oeuvre dans la rotonde du Casino de Monte-Carlo, heureux de l'intérêt porté par les médias au tome 2 de Blitz.
Dans ce nouveau volet, le lecteur est pris dans le rythme des joueurs d'échecs, qui ne laissent aucune chance. La mise à disposition d'un lexique complet des échecs lui apporte les connaissance technique de base. L'ambition de démocratiser les échecs est restée intacte !
L'intrigue du tome 2 : Suite à l'incident avec Caïssa, le niveau de Tom aux échecs a considérablement progressé. De retour à l'école, il retrouve Harmony, Laurent, Saori, mais aussi Anne, Marius et Zhang. Les sept membres du club d'échecs de l'International School of Shibuya doivent maintenant s'affronter afin de déterminer les cinq représentants de l'école qui participeront aux championnats inter-collèges de la région du Kantô. Face à des adversaires redoutables à bien des égards, les nerfs de nos héros vont être mis à rude épreuve... Souvenirs, rivalité, retrouvailles inattendues... difficile de garder sa concentration ! La team ISS sera-t-elle assez solide pour s'en sortir ?