





Depuis 2017, Ariane Séguillon incarne Christelle Moreno dans la série à succès de TF1 Demain nous appartient. Mais c'est pour la pièce On aurait dû aller en Grèce, qui se joue au théâtre du Gymnase jusqu'au 13 avril prochain, que l'actrice a accordé une interview au média Rewell. L'occasion pour elle de donner son point de vue sur l'infidélité mais aussi, de faire une révélation sur ses mensonges passés.
La pièce de théâtre raconte l'histoire des Rousselot qui, pour la première fois, changent leurs habitudes et partent en vacances en Corse. Mais tout ne va pas se passer comme prévu quand la famille Campana va faire irruption dans leur vie. Cette rencontre va donner lieu à un séjour "inoubliable et rocambolesque" comme le précise le synopsis.
On aurait dû aller en Grèce traite notamment du sujet de l'infidélité. Ainsi, le journaliste de Rewell a souhaité avoir son point de vue sur le sujet. "Je n'ai plus le même discours que j'avais à 20 ans. Ce truc d'appartenance me dérange. Tu peux tomber amoureux de quelqu'un d'autre, avoir du désir physique pour quelqu'un, ce qui ne veut pas dire que tu n'aimes plus la personne avec qui tu es", a tout d'abord confié Ariane Séguillon.
Après quoi, elle a précisé que ce qui importait pour elle, c'était l'honnêteté. "Si on se dit quelqu'un de fidèle, on doit être fidèle. Je déteste le mensonge dans la relation. Mais même en amitié. Moi, j'ai beaucoup souffert de ça et j'ai été moi aussi une grosse menteuse. Je fais un travail là-dessus. Je ne veux plus mentir. Quand on a été élevée là-dedans, c'est difficile", a-t-elle avoué.
Si Ariane Séguillon s'est fixé cet objectif, c'est notamment grâce à son célèbre fils Dorian (30 ans, fruit de son ancienne union avec Jean-Christophe Lauduique). "Mon fils m'a beaucoup aidée, parce qu'il m'a dit un jour : 'Ca me fait souffrir maman quand tu mens.' Je me suis rendue compte qu'il était beaucoup plus fier de moi si je lui disais la vérité", a conclu la maman de la star d'Ofenbach.
Elle ne dit donc plus que la vérité, rien que la vérité.