Le bébé d'une finaliste de Koh-Lanta touché par une dystrophie limitant ses mouvements : "Elle doit porter un harnais spécial"

La vie de Pauline a été encore plus inondée d'amour, le 8 avril dernier. A cette date, la finaliste malheureuse de Koh-Lanta 2024 (TF1) a accueilli son premier bébé avec son compagnon Loïc. Une petite fille qu'ils ont prénommée Paola. Mais le 11 juin 2025, elle a annoncé une triste nouvelle la concernant. 

Les mamans le savent, la vie avec un bébé ou même un enfant peut être de véritables montagnes russes émotionnelles. Elles sont heureuses autant qu'elles peuvent être inquiètent quand la santé de leur merveille en prend un coup. Ainsi, Pauline n'avait pas vraiment le moral comme elle l'a confié à sa communauté Instagram, mercredi.  Ses abonnés ont pu découvrir une vidéo sur laquelle sa fille (dont le visage était caché) apparaissait avec une sorte de harnais. Il fallait lire la légende pour comprendre ce qu'il se passait.  

"Paola est née en siège, ce qui fait qu'elle a passé une bonne partie de la grossesse avec une hanche coincée dans mon ventre. Et aujourd'hui, on a découvert qu'elle a une dysplasie de la hanche. Du coup, elle doit porter un harnais spécial, qu'on appelle le harnais de Pavlik", a-t-elle révélé dans un premier temps. Pauline n'a ensuite pas caché que la situation l'avait beaucoup affectée : "Franchement, la première fois que je l'ai vue avec, j'ai failli pleurer. C'est super impressionnant à voir. On se dit qu'elle ne pourra plus bouger, qu'elle va être super gênée. Mais au final le harnais est assez souple, elle arrive encore à gigoter un peu. Même si oui, ça la limite beaucoup dans ses mouvements."

Pauline est d'autant plus triste que la situation aurait visiblement pu être évitée. Loïc et elle ayant reçu des informations contradictoires du corps médical, ils ont sans doute agi trop tard. "Et là où je suis un peu dégoûtée, c'est qu'à la naissance, on nous avait dit de faire une échographie des hanches avant un mois. Mais quand je l'ai appelé pour la prendre, on m'a dit que ça ne servait à rien avant un mois. Résultat : on l'a faite plus tard. Et aujourd'hui, la pédiatre nous dit : 'Vous avez trop attendu'. Alors oui, on a la chance d'avoir un bon système de santé en France mais parfois, niveau infos et prévention, c'est flou. Et là, on a perdu deux mois", a-t-elle regretté. Elle a donc conseillé aux personnes qui ont ou auront un bébé né en siège d'insister pour passer une échographie tôt. "Mieux vaut prévenir que guérir", a-t-elle conclu.