Nouvelle Star - Sinclair : ''Collaborer avec Sophie-Tith, c'est un rêve''

C'est ce mardi 26 février que les téléspectateurs de D8 ont décidé de sacrer la très jeune Sophie-Tith (16 ans) grande gagnante de l'édition 2013 de Nouvelle Star version TNT face à Florian. Cette grande finale du programme a d'ailleurs permis à la chaîne de rassembler plus de 1,8 million de fidèles, faisant de Nouvelle Star le programme de divertissement le plus suivi de l'histoire de la TNT. Un succès qui permettra au télé-crochet de revenir l'année prochaine pour notre plus grand plaisir !

C'est à la suite de cette finale en apothéose que Sinclair, juré intransigeant mais néanmoins populaire de l'émission, s'est confié à nos confrères de Télé 2 semaines. Il est revenu d'entrée de jeu sur la victoire éclatante de la benjamine de la saison : "Elle avait gagné depuis les auditions au théâtre. C'est une évidence, une révélation. On est face à une artiste majeure, même si elle est encore mineure. (...) Elle plaît aussi bien aux enfants qu'aux grands-parents. Depuis Christophe Willem, on n'a pas vu un gagnant aussi transgénérationnel."

C'est donc un juré conquis qui avoue sans détour : "Collaborer avec elle, c'est un rêve. Il faudrait être sourd et ne pas aimer la musique pour répondre non. J'attends dans mon coin. Si elle a besoin de moi, je suis là. Je sais qu'elle va être très sollicitée. (...) Elle a tout intérêt à surfer sur le succès et foncer. Sophie-Tith, elle peut tout faire."

Pour Sinclair, l'autre révélation de cette nouvelle cuvée de Nouvelle Star, c'est l'animateur Cyril Hanouna qui rassemble selon lui de nombreuses qualités. "Cyril envoie une très bonne énergie. C'est une personne que j'aime depuis le Morning Café, même si ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux. Moi non plus d'ailleurs (rires). Sur les lives, il a amené une détente nécessaire et des vannes. Son succès est mérité. Il bosse, c'est un acharné", confie-t-il.

Pour finir, le chanteur de Si c'est bon comme ça revient sur son entente avec les nouveaux jurés Maurane et Olivier Bas : "Au départ, ils se sont laissé piéger par le plaisir. Ils ne se rendaient pas compte. C'était un peu de la glue-guimauve, quelque chose d'un peu mou. Ça me rendait fou. En tant que juré, on n'est pas là pour regarder le spectacle."