Princess Erika maman fière : elle dévoile le visage d'Oudima, son jeune fils bachelier !

Le mardi 6 juillet 2021 était une journée de délivrance pour beaucoup. Après avoir passé les différentes épreuves du baccalauréat, malgré une scolarité compliquée due à la pandémie de Covid-19, les lycéens de France ont finalement reçu les résultats du bac. Certains ont excellé, d'autres vont devoir sérieusement bûcher pour les rattrapages... mais ce n'est pas le cas du plus jeune fils de Princess Erika, né en 2003, dont le succès a été révélé, par maman, sur les réseaux sociaux.

Elle chantait Faut qu'j'travaille en 1995, il faut croire qu'il l'a bien écoutée ! "Oudima a eu son bac avec la mention assez bien, écrit la chanteuse sur son compte Instagram. Joie, fierté et soulagement !! Bravo mon fils !" C'est l'occasion de se réjouir de ces bonnes notes mais aussi de découvrir le visage du jeune homme. D'autant que Princess Erika - de son vrai nom Erika Dobong'na - expose très peu ses enfants, et que la dernière fois qu'elle l'a fait, c'était pour une raison un peu moins réjouissante. En mai 2019, l'étudiant avait été passé à tabac par un groupe de dix personnes et s'était retrouvé à l'hôpital, défiguré, semant rage et inquiétude autour de lui. A l'époque, l'artiste avait refusé de montrer ses blessures, Oudima n'ayant que 16 ans.

C'est une maladie très prenante pour l'entourage

Princess Erika est maman de deux enfants. Elle a également un aîné, Julien, qui est né en 1983. Même quand elle chante sur les planches des salles qui accueillent la tournée Born in 90, quand elle est sur un plateau de tournage - on l'a notamment vue en 2018 dans la série Access sur C8 -, elle pense sans arrêt à ses fils. D'autant que le plus grand est atteint d'une maladie psychique, la schizophrénie. "C'est une maladie très prenante pour l'entourage, avouait-elle auprès de Closer en 2011. Ma famille, son père et mes amis ont été très présents. Au départ, on pensait que c'était juste un épisode, que ça irait mieux. Malheureusement, et je crois que c'est le plus dur à accepter, c'est une maladie dont on ne guérit pas..."