Rick Schroder (NYPD) arrêté pour violences conjugales : "C'est un malentendu"

Mercredi 1er mai 2019, nous vous apprenions que Rick Schroder avait été arrêté pour la seconde fois pour "violences domestiques" en l'espace d'un mois. C'est le toujours très bien informé TMZ.com qui révélait le 5 mai 2019 les détails de sa première altercation avec sa petite amie, survenue le 2 avril 2019. Il l'aurait attrapée par les cheveux et frappée au visage, mais n'aurait pas été inculpé tout de suite parce que sa compagne aurait refusé de travailler avec la police.

Selon les documents que TMZ.com ont pu consulter, sa petite amie aurait appelé la police, disant que Rick Schroder lui aurait demandé de quitter sa maison. Elle aurait accepté, mais lorsqu'elle est allée chercher ses affaires, il est devenu très violent. C'est là que l'acteur de Ricky la belle vie l'aurait attrapée par les cheveux, l'empêchant de sortir de la chambre, puis frappée au visage lorsqu'elle a essayé de s'enfuir. Elle aurait ensuite chuté sur une table.

Des policiers sur les lieux disent avoir vu sa joue droite rougie et enflée. Cependant, elle a refusé de faire constater ses blessures par un médecin présent sur place et se serait montrée "extrêmement peu coopérative, refusant de répondre à toute autre question". La partenaire de Rick Schroder a également refusé aux policiers de prendre des photos de ses blessures, déclarant qu'elle ne voulait pas que son partenaire soit arrêté.

Deux jours plus tard, des médecins l'auraient à nouveau consultée. Elle aurait dit que cette altercation était "un gros malentendu" et qu'elle ne souhaitait pas engager de poursuites judiciaires. En raison du manque de preuves, le procureur de Los Angeles avait refusé d'engager des poursuites.

Avec la seconde affaire de violences domestiques, concernant toujours cette même petite amie, Rick Schroder avait été placé en détention, avant de payer une caution de 50 000 dollars. Un procès pour "violences domestiques" pourrait s'ouvrir concernant la deuxième affaire, s'appuyant potentiellement sur les preuves de la première arrestation.