Stéphane Bern ne cesse de le répéter : il aime passionnément son mari Yori Bailleres. Mais il le rend aussi “dingue” parfois. Dans 50’ inside ce 29 novembre 2025, l’animateur, qui vient de créer une marque de vêtements et a lancé sa chaîne YouTube, explique être une véritable “pile électrique” et ne jamais s’arrêter. Mais à 62 ans, le spécialiste de la royauté est challengé par son compagnon, de 20 ans de moins.
Stéphane Bern explique qu’il a toujours envie de se mettre de nouveaux défis, ce qui est une façon de rester jeune soi-même, “de pas voir les années sur vous”. Il n’a d’ailleurs pas encore eu recours à la chirurgie esthétique. Mais pour l’homme qui partage sa vie, il doit faire une autre concession : venir sur Paris, qu'il a quitté pour des conflits de voisinage.
Depuis 2013, Stéphane Bern possède une demeure historique unique : un ancien collège royal militaire fondé en 1630, qu’il a totalement restauré. En 2016, il a ouvert un musée et des jardins accessibles au public pour assurer sa pérennité. Située dans le Perche à Thiron-Gardais, il s’y voyait bien rester tranquille. Mais ce n’est pas au goût de Yori.
Le présentateur de Secrets d’histoire raconte : “Quand vous avez la chance de vivre avec quelqu’un qui a 20 ans de moins que vous, ça vous oblige à être dans le coup”. Son conjoint lui dirait donc des phrases comme “Allez, remue-toi, secoue-toi, on sort. ll faut bouger”. De quoi changer les plans de la star de la télé : “Moi qui pensais que j’allais prendre une retraite dans mon territoire du Perche (...) Non, il m’oblige à venir à Paris de temps en temps pour voir du monde”. Il confirme toutefois que cela lui fait plaisir aussi.
Stéphane Bern plaisante en disant que son mari a 40 ans et qu’il pourrait en trouver deux qui en auraient 20. Mais il est dithyrambique sur Yori, la “personne la plus importante” de sa vie : “Il est merveilleux, il me fait beaucoup rire”.
Sur son côté déjanté, il révèle que c’est son compagnon qui fait office de miroir pour le lui faire remarquer et souligner qu’il est dommage de ne pas l’exploiter davantage. Un couple qui vit bien, entre l’Eure-et-Loir, la capitale et le Var, et une différence d’âge qui semble ne pas avoir de prise sur leur idylle.
