Stéphane Bern a une passion cachée qui déteint sur l'intérieur de sa sublime propriété pour laquelle il s'est endetté

Ce mercredi 17 septembre, à 21h10 sur France 3, Stéphane Bern nous révèle enfin le résultat du vote populaire de juillet 2025, désignant le Monument préféré des français cette année. L'occasion de s'intéresser au célèbre animateur, notamment à sa passion pour la brocante. Le compagnon de Yori déniche tout un tas d'objets. "Des serviettes, des nappes, des lins extraordinaires...Si j'en trouve à mes intitiales, je les prends tout de suite, Et puis également des pelles à tarte, des pinces à sucre...Tout ce qui fait des cadeaux de Noel merveilleux, et tellement plus intéressants que les deniers gadgets à la mode."

C'est ce qu'il expliquait au Journal de la Maison au mois de juin. En ajoutant que le plus objet qu'il a chiné est "une armoire à oeufs' qu'il a customisée aux armoires du Collège Royal et Militaire de Thiron-Gardais : un bâtiment qu'il a racheté en 2013. Ce monument classé au patrimoine français, il l'a récupéré dans un piteux état, et a dû ainsi entreprendre de sérieux travaux estimés à 4 millions d'euros. C'est ce qu'il racontait pour France 3 : "C'est en novembre 2014 que les travaux ont commencé. Pendant deux ans, des ouvriers ont travaillé tous les jours pour que le collège redevienne un espace habitable. Des années durant lesquelles environ soixante-dix personnes se sont engagées dans la rénovation de ce lieu presque à l’identique."

Mais cela n'a pas été sans conséquence, comme il l'indiquait à TV Mag : "Je dois faire attention. Je suis obligé de travailler, et sans doute encore longtemps, pour rembourser mes dettes. Je m'en suis mis beaucoup sur le dos." Stéphane Bern essaie malgré tout de continuer à profiter de ce superbe endroit, où il peut pleinement exprimer sa passion. "J'y ai reconstitué une salle de classe avec une carte de géographie datant de 1785, un cintre en chapeau de gendarme, des bancs...Des choses qui ne coûtent rien prennent soudain une valeur extraordinaire lorsqu'il est question de reconstituer l'histoire de ces gamins au collège.", a-t-il détaillé pour Journal de la Maison, pour en revenir à cette interview.

On apprenait également que tout ne se passe pas toujours comme il le veut : "Comme j'ai acheté le Collège royal et militaire de Thiron-Gardais en 2013, je cherche tout ce qui a trait à l'endroit. Récemment, j'ai raté en salle des ventes un livre qui venait de là. (...) Cela m'a beaucoup frustré", a-t-il regretté. Ce qui ne l'empêche pas de continuer à chiner, une activité qui lui tient à coeur : "Il y a un coté nostalgique lorsqu'on voit une famille se séparer de certains objets. C'est pourquoi je considère mes trouvailles en brocante comme des trésors."