Un nouveau dérapage pour Sidney Govou... Il risque gros !

Il y a deux ans, déjà, l'attaquant international Sidney Govou, 31 ans, qui évoluait à l'époque à l'Olympique Lyonnais, avait été contrôlé par la police lyonnaise avec un taux d'alcoolémie de 2,6 g d'alcool par litre de sang.

Il avait alors présenté de plates excuses à ses proches et son club pour cet important écart : "Je tenais à m'excuser pour cette faute de vie dont j'ai fait l'objet dans la nuit de dimanche à lundi. Je m'excuse en tout premier lieu par rapport aux membres de ma famille qui malheureusement vont être très déçus de mon comportement aujourd'hui. De par ma faute, j'ai peut-être véhiculé une mauvaise image du club. Donc je voulais vraiment m'excuser en tout premier lieu auprès du club et des supporters".

Faute avouée... à moitié pardonnée, non ? Eh bien depuis, rien ne s'est vraiment arrangé pour l'international. Entre l'affaire Zahia - où il n'avait pas grand chose à voir, puisqu'elle était majeure au moment de leur relation sexuelle - et le fiasco des Bleus en Afrique du Sud, on ne peut pas dire que l'image de l'attaquant français se soit éclaircie. D'autant que la star du ballon rond vient de commettre un nouveau dérapage. Actuellement en Grèce, où il évolue au Panathinaïkos, au côté de Djibril Cissé, Sidney s'est encore offert une nuit arrosée le week-end dernier.

Tenu au courant de cet écart - le troisième depuis son arrivée dans l'équipe hellène -, le club grec lui a demandé des comptes, par écrit, avant vendredi, et devrait lui faire payer une amende comprise entre 20 000 et 50 000 euros pour ce nouvel écart.

Le patron du club, Nicholas Pateras, a même été jusqu'à le mettre en garde d'une exclusion de l'équipe si ce genre d'événement venait à se reproduire. Mais visiblement, Sidney aime trop la fête, même son partenaire et compatriote Djibril Cissé baisse les bras, comme il le déclare sur le site Sportnet.gr : "Je lui ai déjà dit, laissons-le faire ce qu'il veut. Je ne peux rien faire de plus."

Sex addict ça passe... alcool addict, ça casse !