






Paris, juillet 1793. Quatre ans après la prise de la Bastille. La situation est explosive et la Terreur bat son plein. Au milieu de ce monde de violences et de mutations, une seule constante à peu près immuable : les femmes n'ont le droit à rien. Mais une certaine Olympe de Gouges décide de se rebeller. Cette histoire vraie, elle est racontée dans le téléfilm Olympe, une femme dans la révolution, diffusé ce lundi 3 mars 2025 à 21h10 sur France 2. Pour incarner cette grande féministe qui aura donné sa vie pour ses idées : Julie Gayet. Une actrice qui elle-même porte ces valeurs d'égalité, et qui a également tenu à les transmettre à ses fils.
Mais ici, intéressons nous plutôt à son étonnant lien de parenté avec un célèbre acteur, à savoir François Cluzet. En effet, Julien Gayet a découvert qu'ils étaient de la même famille, sur le tournage de Poly, film sorti en salles en 2020. "Tu savais qu'on était cousins ?", lui avait lancé le comédien, avant qu'elle ne se rende compte qu'il avait bel et bien raison. "On a commencé à chercher, et effectivement on est très proches, on est cousins du côté de ma mère de ma famille dans les Ardennes.", avait raconté l'épouse de François Hollande au micro d'Europe 1. Et d'ajouter : "Mais c'est vrai qu'il y avait un petit quelque chose, un petit air de famille."
Pour rappel, Julie Gayet s'est déjà confiée sur sa famille. Notamment sur son papy Alain, dans le livre Chers grands-parents de Nathalie Lévy, dans lequel la journaliste a recueilli le témoignage de plusieurs personnalités qui se sont donc confiées sur leurs grands-parents. On apprend alors que cet homme a fait partie des tout premiers résistants pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il a également fait partie des jeunes membres des Forces Françaises Libres et participé à de nombreuses actions militaires.
Julie Gayet révélait également cette drôle de tradition, chez les Gayet : "Dans ma famille, ce qui est fou, c'est qu'on considère que les enfants deviennent des hommes et des femmes à quinze ans. Et donc, à chaque anniversaire de quinze ans, on organise une dégustation de vin. Mon père a fait ça pour mes fils comme il l'avait fait avec moi. C'est une sorte de communion au vin... Et comme on ne recrache pas, évidemment, ça permet d'apprendre la vie ! Je compte bien faire pareil avec mes petits-enfants." Une drôle de confidence !