






En ce moment, Julie Depardieu multiplie les apparitions médiatiques, notamment parce qu'on la retrouve chaque semaine sur France 3 en tant qu'héroïne de la série Alexandra Ehle, où elle y incarne une médecin légiste (rendez-vous d'ailleurs ce mardi soir à 21h05 sur la chaine du service public pour deux nouveaux épisodes de cette fiction policière). Le 6 mars, elle racontait par exemple, à nos confrères du magazine Gala, avoir fait exprès de se faire tatouer pour se faire virer de son cours de danse classique, lorsqu'elle avait 14 ans. Un geste qu'elle regrette encore aujourd'hui.
Quelques jours plus tard, elle faisait d'autres confidences à propos de son physique, cette fois-ci lors de son passage sur France Inter, au micro de Léa Salamé. Elle revenait alors sur sa rhinoplastie, une opération du nez qu'elle a dû faire à cinq reprises à l'âge de 22 ans pour réduire/effacer sa ressemblance physique avec son célèbre père Gérard Depardieu (accusé d'agressions sexuelles sur deux femmes lors d'un tournage en 2021 et actuellement en procès). "Maintenant c'est fait mais je regrette de m'être tant pris la tête sur des conneries", avait-elle expliqué.
Un sujet qu'elle abordait il y a quelques années dans les colonnes du Monde : "Je ne me supportais pas. C’était une question identitaire. Ce n’était même pas pour être jolie, je ne voulais pas avoir ce nez-là, qui ressemblait trop à celui d’un membre de ma famille." Ce "membre" étant donc son père.
"Un jour, dans la rue, je devais avoir 17 ans, un garçon m’a regardée et m’a dit : ‘Vas-y, on dirait Depardieu en fille !’ L’horreur. Tout le monde me parlait que d’une seule personne : le mec qui m’a fait", déplorait-elle, pour le magazine Biba. "J'en avais marre qu'on me parle sans arrêt de quelqu'un dont je n'étais pas responsable. Un type à poil dans ses films et bourré à la télé, je n'y étais pour rien. En même temps, j'admire son talent, son incroyable audace et j'espère qu'il est heureux mais au fond, tout ça ne me regarde pas."