Cet homme d'affaires et milliardaire français a rassemblé des invités puissants pour bien commencer la rentrée

Pour le dîner de rentrée de la plus ancienne revue d’Europe, La Revue des deux Mondes, le corps diplomatique est venu en nombre écouter le ministre de l’Intérieur français Bruno Retailleau à la Maison de l'Amérique Latine à Paris le 15 septembre 2025 . Ainsi, l’ambassadeur de Chine, Deng Li, l’ambassadeur de Grande-Bretagne récemment arrivé à Paris, Sir Thomas Drew, l’ambassadeur d’Allemagne Stephan Steinlein, l’ambassadrice d’Italie Emanuela D’Alessandro, les ambassadeurs du Portugal Francisco Ribeiro De Menezes, des Pays-Bas Jan Versteeg, de Pologne Jan Emeryk Rościszewski, ou encore l’ambassadrice de Suisse Tania Cavassini, étaient présents pour ce rendez-vous incontournable. 

Parmi l’assemblée, se trouvaient notamment les anciens ministres Roselyne Bachelot, Gérard Longuet actuel sénateur de la Meuse, ou encore Xavier Darcos, Chancelier de l’Institut de France. Le corps préfectoral était également bien représenté par le préfet des Hauts-de-Seine Alexandre Brugère, du Val-d’Oise Philippe Court, ou encore l’ancien préfet de Paris Pierre Mutz et l’ancien préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Pierre Dartout. 

On a aussi pu y voir les réalisateurs Yamina Benguigui et Jean-Jacques Annaud, les producteurs Gilbert et Nicole Coullier, le politologue Dominique Reynié ou encore Monseigneur Dubost, évêque émérite. Fait rare, l'entrepreneur et mécène Marc Ladreit de Lacharrière a pris la parole en fin de soirée alors qu’il dénonçait la "taxe Zucman", dont l’application détruirait, selon eux, certaines des grandes entreprises françaises. 

Fondée en juillet 1829 à Paris par Prosper Mauroy et Pierre de Ségur-Dupeyron, la Revue des Deux Mondes est d’abord intitulée Revue des Deux-Mondes, recueil de la politique, de l’administration et des mœurs, puis elle se rebaptise dès la fin de 1829 et définit son ambition intellectuelle qui renvoie d’une part à l’Europe et d’autre part à l’Amérique. Au croisement de l’histoire, de la littérature et de la politique, elle souhaite, d'après son site officiel, incarner l’humanisme hérité des Lumières, cela dans un souci de connaissance, de curiosité pour les sociétés extra-européennes, qu’il s’agisse de l’Amérique, de la Russie ou des mondes africains et asiatiques.