





Récemment, il a été dit qu’Iris Mittenaere aurait été infidèle envers son ex-fiancé Diego El Glaoui, peu avant leur séparation, annoncée en mai 2024. "J’ai découvert que j’avais été trompé peu après nos fiançailles et durant plusieurs mois. Je n'ai jamais souhaité que la vérité soit rendue publique et jamais je n'aurais pensé devoir l'évoquer ici. J'ai choisi le silence par pudeur, par respect pour notre histoire, par fierté aussi, mais aussi pour protéger son image, malgré l'injustice et la douleur que j'ai traversées.", a alors déclaré l'entrepreneur sur Instagram. Des images ont notamment fuité sur la Toile.
Impliqué dans ce dossier qui circule sur les réseaux sociaux depuis quelques jours, le dernier ex-compagnon d'Iris Mittenaere, Bruno Pelat, condamné pour violences conjugales envers l'ancienne reine de beauté l'an dernier, a fait entendre sa voix par l'intermédiaire d'un communiqué de presse de ses avocats : il reconnaît l’authenticité de la vidéo diffusée ainsi que la date mais condamne fermement son utilisation et dément les avoir transmis à qui que ce soit. Il affirme n’avoir jamais transmis ces images à quiconque et soutient son ex-compagne : "Quels qu’aient pu être leurs différends passés, Monsieur Bruno Pelat condamne avec la plus grande fermeté la diffusion de propos haineux et les injures proférées à l’encontre de Madame Iris Mittenaere, à laquelle il tient à exprimer son plein et entier soutien."

Dans la soirée de ce jeudi 12 juin, l'ex-Miss France a décidé de prendre la parole, par l'intermédiaire d'un communiqué diffusé en story Instagram.
"Depuis plusieurs jours, je fais l'objet d'une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux. Des propos mensongers, volontairement déformés ou sortis de leur contexte ont été relayés pour tenter de nuire à mon image, à ma parole et à mon engagement. Je ne suis pas la seule dans ce cas. Comme trop d'autres femmes, je constate à quel point la calomnie, le harcèlement et la manipulation sont devenus des outils de pression en ligne. Il est temps que cela cesse", a indiqué dans un premier temps celle qui vit actuellement une belle histoire d'amour avec le rugbyman Antoine Dupont.

Et d'ajouter : "Je suis déterminée à faire respecter mes droits. Une plainte pénale a été déposée auprès du Procureur de la République pour divulgation de correspondances privées, diffamation publique, cyberharcèlement et incitation au cyberharcèlement. Parallèlement, une procédure d'urgence civile est engagée pour atteinte à l'intimité de ma vie privée. J'ai donc donné mandat à mes avocats de tout mettre en œuvre pour faire cesser ces agissements. Je reste profondément attachée à mes valeurs : le respect, la vérité, la justice. Je suis débout, entourée, et pleinement engagée dans mes projets."
"Merci à toutes celles et ceux qui m'envoient leurs messages, leur bienveillance, leur solidarité. Votre soutien est une force précieuse", a-t-elle ensuite conclu.