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Julie Delpy heurtée par sa rupture et la garde de son fils, "aussi violentes que la mort de ma mère"

Julie Delpy heurtée par sa rupture et la garde de son fils, "aussi violentes que la mort de ma mère"
Par Camille Dubois Rédactrice
Passionné par le monde du showbiz français, il est un grand fan de Cyril Viguier, Bénabar ou encore de Chevallier et Laspalès. Il met sa passion pour l'actu des stars au service de son poste de rédacteur
14 photos
Dans un grand entretien à "Télérama", Julie Delpy revient sur l'épreuve qu'a été la bataille judiciaire pour la garde de son fils Léo (12 ans). La réalisatrice explique comment ce sentiment de "kidnapping" a inspiré son dernier film, "My Zoé".

Dans un long entretien à Télérama, Julie Delpy est venue présenter son nouveau film My Zoe. Il décrit un couple qui se sépare avec comme toile de fond la disparition de leur enfant. Un film qui s'inspire directement de l'histoire personnelle de la réalisatrice, qui a été la compagne du compositeur Marc Streitenfeld, père de son fils Léo (12 ans).

Aux antipodes de ces divorces lissés par Hollywood, Julie Delpy ose ici montrer des sentiments plus crus. "Ma séparation d'avec le père de mon fils et ma bataille pour en obtenir la garde ont été aussi violentes que la mort de ma mère. J'ai eu envie de raconter ce moment où, dans le système de revanche et de haine dans lequel peuvent entrer les parents qui se séparent, l'enfant disparaît", développe-t-elle dans une interview parue le 23 juin 2021.

"J'ai écrit le film au moment de ma séparation. Il a été décidé que mon fils serait en garde partagée et j'ai eu le sentiment que son père me le kidnappait. Légalement, évidemment", déplore Julie Delpy. Dans My Zoe, la réalisatrice expatriée aux États-Unis "réalise ce fantasme" d'avoir son fils Léo pour "elle toute seule".

"Quand les parents se séparent, ils doivent chacun réinventer leur enfant, qu'ils éduqueront seul la moitié du temps. Celui qu'ils avaient élevé à deux a disparu. Mon personnage recrée son enfant tout en réinventant sa maternité", explique la réalisatrice.

Dans son interview à Télérama, Julie Delpy en dit plus sur sa vie à Los Angeles, où elle s'est très bien faite à la "culture hippie" et où il lui reste encore quelques projets à conclure, malgré "l'obsession" de son fils Léo pour la France. Elle y déplore également la réputation ignoble que lui faisaient réalisateurs américains dont elle refusait les avances, à l'image d'un certain Harvey Weinstein : "Dès les années 1990, on était nombreux à savoir à quoi s'en tenir à son sujet. J'avais même croisé l'une de ses victimes lors de ma toute première fête à Los Angeles. Quand il m'avait invitée pour la promotion de Blanc (1994), de Krzysztof Kieslowski, j'avais refusé de séjourner au Four Seasons dans la chambre à côté de la sienne. Et ce malgré les hauts cris de mon agent. Weinstein et d'autres m'ont fait une réputation de fille ingérable. Ils ne digéraient pas l'idée qu'une femme puisse leur dire non !"

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