Julien Royal : Le fils de François Hollande et Ségolène Royal aurait fait un "sale coup" à sa belle-mère, Julie Gayet

Dans les pays francophones, un film français diffusé sur la plateforme Netflix cartonne, rapidement hissée dans le top 10 français et mondial : Nouveaux Riches. De quoi mettre dans la lumière son réalisateur qui, s'il n'était pas très connu du grand public, a de très célèbres parents : un ancien président et une ancienne ministre, François Hollande et Ségolène Royal. Troisième de la fratrie des deux personnalités politiques - en couple de 1978 à 2007 -, Julien, metteur en scène discret est désormais sous les projecteurs à travers son carton. Un jeune homme de 35 ans passionné qui aurait fait travailler sa célèbre belle-mère, sans la ménager !

On connaissait Thomas l'avocat qui est marié avec la journaliste Emilie Broussouloux et papa, Clémence, la médecin spécialiste en hépa-gastro-entérologie et Flora, psychologue clinicienne. Voici donc Julien, réalisateur désormais à succès ! Dans sa fiction Nouveaux Riches, une comédie d'action potache, il a dirigé Nassim Lyes et Zoé Marchal mais aussi plein de stars, invitées truculentes. On peut aussi citer Adèle Exarchopoulos, Guillaume Canet mais également... Julie Gayet ! Sa belle-mère, actrice et productrice émérite, aurait tenu un rôle dans son oeuvre mais elle aurait finalement été coupée au montage, précise Ici-Paris. Quant à ses parents, ils n'ont pas fait d'apparitions, le genre de clin d'oeil que le cinéaste préfère éviter.

Car Julien Royal ne veut pas qu'il y ait de confusion : il est arrivé là où il est grâce à son travail et son amour pour le cinéma, et rien d'autres ! Ce qui expliquerait pourquoi il a choisi de porter le patronyme plus classique de sa maman, Royal, plutôt que celui de son père ex-président. Avec son look d'ado rebelle aux longs cheveux blonds, il dénote aussi au sein de sa famille. Son compte Instagram est quant à lui toujours en mode privé, pas question de pour lui d'étaler sa vie et son travail pour lui-même. Ne se prenant pas au sérieux, il indique dans sa bio être scénariste-réalisateur "zerma", un mot ironique d'origine arabe que les jeunes affectionnent et qu'on peut traduire en "genre".