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Demain, c'est le grand jour pour Laurent Ruquier ! Entouré d'une vingtaine de chroniqueurs que l'on retrouvera quotidiennement en alternance, le héros des audiences de France 2 a été appelé à la rescousse par la direction pour sauver le 18h30-20h de la chaîne. Dans L'Émission pour tous, il aura pour mission de "traiter l'actualité du jour, mais en restant dans le divertissement".
Quotidiennement, ce nouveau rendez-vous sera enregistré autour de 15h, dans les conditions du direct, pour une diffusion dès 18h30. A terme, le programme pourrait être proposé en direct "une fois que l'émission sera sur rails", à en croire l'animateur-producteur. Les sujets qui divisent les Français seront abordés chaque jour en première moitié d'émission, tandis qu'en seconde partie, Laurent Ruquier accueillera un invité qui fait l'actualité.
Malgré des objectifs en matière d'audience, ses angoisses face à la concurrence et la pression de propulser un nouveau format, Laurent Ruquier semble serein. Il s'est confié au Journal du dimanche, en kiosques ce dimanche 19 janvier.
"(L'access de France 2), c'est une offre qui ne se refuse pas. J'ai le goût du challenge", affirme-t-il, rassurant, s'appuyant sur les excellentes audiences enregistrées par On n'est pas couché cette saison encore. Pour conquérir un large public, Laurent sait d'ailleurs exactement quel public il doit draguer : "Mes concurrents, c'est TF1, France 3 et M6 avec Faustine Bollaert qui réalise près du double de l'audience de Cyril Hanouna, avec 11% de part de marché. C'est là que je dois prendre mes téléspectateurs."
Et si Laurent Ruquier dément avoir un clause d'audience dans son contrat sur L'émission pour tous, on le sait cet objectif est tacite à une case aussi cruciale. "Si je pouvais atteindre les 10 ou 11%, ça serait parfait", reconnaît-il à demi-mot.
Le quinquagénaire promettait récemment de donner la parole au public, souvent injustement exclu des débats : "(Ce sera) une émission interactive de divertissement et de débat, avec un public présent dans le studio. Je donnerai la parole à ceux qui, dans la salle, auront envie de contredire les chroniqueurs", confiait-il à Télé-Star cette semaine.
Premier grand oral : ce lundi 20 janvier à 18h30.
Joachim Ohnona
Quotidiennement, ce nouveau rendez-vous sera enregistré autour de 15h, dans les conditions du direct, pour une diffusion dès 18h30. A terme, le programme pourrait être proposé en direct "une fois que l'émission sera sur rails", à en croire l'animateur-producteur. Les sujets qui divisent les Français seront abordés chaque jour en première moitié d'émission, tandis qu'en seconde partie, Laurent Ruquier accueillera un invité qui fait l'actualité.
Malgré des objectifs en matière d'audience, ses angoisses face à la concurrence et la pression de propulser un nouveau format, Laurent Ruquier semble serein. Il s'est confié au Journal du dimanche, en kiosques ce dimanche 19 janvier.
"(L'access de France 2), c'est une offre qui ne se refuse pas. J'ai le goût du challenge", affirme-t-il, rassurant, s'appuyant sur les excellentes audiences enregistrées par On n'est pas couché cette saison encore. Pour conquérir un large public, Laurent sait d'ailleurs exactement quel public il doit draguer : "Mes concurrents, c'est TF1, France 3 et M6 avec Faustine Bollaert qui réalise près du double de l'audience de Cyril Hanouna, avec 11% de part de marché. C'est là que je dois prendre mes téléspectateurs."
Et si Laurent Ruquier dément avoir un clause d'audience dans son contrat sur L'émission pour tous, on le sait cet objectif est tacite à une case aussi cruciale. "Si je pouvais atteindre les 10 ou 11%, ça serait parfait", reconnaît-il à demi-mot.
Le quinquagénaire promettait récemment de donner la parole au public, souvent injustement exclu des débats : "(Ce sera) une émission interactive de divertissement et de débat, avec un public présent dans le studio. Je donnerai la parole à ceux qui, dans la salle, auront envie de contredire les chroniqueurs", confiait-il à Télé-Star cette semaine.
Premier grand oral : ce lundi 20 janvier à 18h30.
Joachim Ohnona
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