Lady Gaga quitte l'hôtel Bristol et va se promèner avec son chien Asia à Paris, le 1er novembre 2014. © BestImage
Elle était de passage à Paris pour faire notamment la promotion de son nouvel album, Cheek to Cheek, projet jazzy dont elle partage la pochette avec l'infatigable crooner Tony Bennett mais aussi pour investir le Zénith à l'occasion d'un concert exceptionnel de sa tournée ArtRave : The Artpop Ball : fidèle à elle-même, Lady Gaga a fait en sorte d'offrir à la capitale française un festival de looks dont elle seule a officiellement le secret.
Tantôt déesse mystique aux somptueux atours tantôt hippie rock sortie tout droit d'un futur proche, la Mother Monster a effet régalé ses fans de tenues tout aussi excentriques les unes que les autres, histoire de ne pas déroger à son statut de reine du transformisme. Samedi 1er novembre, la chanteuse de 28 ans a même carrément affolé les rues de Paris dans un look osé surtout étant donné les températures quelque peu hivernales qui touchent actuellement la Ville Lumière. Vêtue d'une robe bustier très spéciale laissant apercevoir sa poitrine partiellement dénudée, Lady Gaga n'a eu que faire du climat refroidi et c'est donc dans un ensemble d'inspiration à la fois SM et burlesque sexy qu'elle a été repérée à la sortie du chicissime hôtel Bristol, où elle avait posé temporairement ses valises.
Car après avoir enchanté Paris et profité de son séjour français pour s'épancher en déclarations inattendues (notamment au micro de Thomas Sotto sur Europe 1 où elle s'est livrée sur sa dépression ou encore sur le plateau de C à vous où la chanteuse a craqué face à Anne-Sophie Lapix et toute sa bande), Lady Gaga a mis les voiles direction Vienne en Autriche où elle a foulé les planches fesses et seins à l'air - comme en témoignent les photos publiées par le Daily Mail. La chanteuse n'est en effet pas spécialement une championne en ce qui concerne la pudeur et n'a de cesse de faire tomber le soutien-gorge ou encore la culotte (comme récemment sur Instagram où elle monterait son popotin en pleine séance de tatouage), à tel point que c'est désormais devenu, en quelque sorte, sa marque de fabrique.
