Mario Barravecchia (Star Ac 1) : "J'ai coupé les ponts avec Jenifer"

Papa de trois enfants, Mattéo (12 ans), Lily (5 ans) et Andrea (1 an), Mario Barravecchia qui s'est incliné face à Jenifer en 2002 dans la Star Academy a refait sa vie loin des caméras. Ses ambitions, ses rapports avec les anciens candidats de l'émission de TF1... le chanteur s'est confié au site belge DH.be.

Quinze ans après avoir participé à la Star Academy, la vie de Mario Barravecchia a bien changé. Homme d'affaires, il a investi dans le bar La Villa Messner à Dijon et a créé il y a six ans Welcome Magazine, un guide de tourisme haut de gamme. Bref, Mario Barravecchia a connu le succès ailleurs que dans la chanson.

Pour autant, le séduisant brun espère encore percer dans la musique. "Je suis chanteur, j'ai toujours été chanteur depuis l'âge de 11 ans. J'aimerais refaire de la scène et un album, mais ce n'est pas ma priorité aujourd'hui. Mais je peux vous dire que je referais un album, j'y pense chaque jour, mais il y a un moment pour tout...", déclare-t-il à nos confrères. Une chose est certaine, ce n'est pas son ex-acolyte Jenifer qui l'aidera à se lancer. La raison ? Mario Barravecchia a "coupé les ponts avec elle en 2006-2007". "Aujourd'hui, je n'ai aucune amertume ou haine envers elle. Je suis très content de son parcours. On a grandi, le passé est le passé", lâche-t-il sans plus d'explication. Sur "son ami" Nikos Aliagas, le père de famille est plus explicite : "Il a toujours été là et il est encore là. Il reste simple et humble malgré sa notoriété. On se ressemble beaucoup lui et moi..."

Pas près de revenir à la télévision malgré certaines approches comme celle des producteurs des Anges "il y a 3 ou 4 ans", l'ex-chanteur hésite en revanche à se lancer dans la politique. "Je n'ai pas encore franchi le pas, mais je pense que ce sera pour bientôt. Si un jour, je décide de faire de la politique, c'est parce que j'ai peur pour l'avenir de nos enfants. Je ne veux pas qu'ils se retrouvent, dans vingt ans, prisonniers d'un monde dominé par la terreur !", explique-t-il. Affaire à suivre...