Souvenez-vous, au mois de mai dernier, Omar Sy avait été au centre d’une polémique sur les réseaux sociaux après un article de La Provence qui avait beaucoup fait parler. Selon leurs informations, l’acteur d’Intouchables aurait eu une vive altercation avec le personnel de la SNCF au départ de la gare de Lyon, à Paris. Nos confrères rapportaient qu’il était alors "accusé de menaces de mort et outrages sur des agents SNCF". Tout serait parti de la présence de son chien qui l’accompagnait ce jour-là. Omar Sy aurait été sommé de museler son chien, comme l’exige le règlement de la SNCF, ce qui aurait conduit à une première altercation, avant que la situation ne dégénère à bord du train où il aurait "répété les faits de menaces et d’outrages, cette fois à l’encontre des contrôleurs". Un porte-parole de SNCF Voyageurs avait même affirmé à l’AFP que des poursuites allaient être engagées.
L’acteur avait choisi de ne pas réagir immédiatement et avait vu, deux mois plus tard, une affaire similaire publiée dans Valeurs Actuelles. Cette fois-ci, la SNCF était intervenue directement pour démentir les allégations du média : "Contrairement à ce qui est indiqué dans des articles de presse et que nous souhaitons démentir, M. Omar Sy a bien voyagé dans un TGV hier avec son chien muselé. Il n’a en aucun cas refusé que son chien porte une muselière à bord. Les échanges avec nos agents à bord ont été normaux et il n’y a pas eu d’intervention de la police", avait notamment déclaré la compagnie ferroviaire. Malgré ce démenti, Valeurs Actuelles n’avait pas changé de position.
Préférant ne pas alimenter la polémique, Omar Sy s’était alors contenté de repartager le message de la SNCF via sa story Instagram. Mais ce dimanche 14 septembre 2025, il a choisi, pour la première fois, de s’exprimer publiquement sur cette affaire face à Audrey Crespo-Mara.
À l’affiche de French Lover, un nouveau film Netflix disponible dès le 26 septembre prochain, Omar Sy a évoqué son couple, après avoir été interrogé sur la polémique qui a secoué l’été. Cette fois, il n’a pas hésité à dire ce qu’il avait sur le cœur : "Ils racontent cette histoire qui est complètement fausse, ce truc-là s’envole un petit peu [...] Ça ne m’affecte pas personnellement, ça n’a pas d’incidence sur ma vie. Ces gens qui sont crispés, finalement c’est eux qui ont un problème. Ma vie va bien, et je pense que c’est aussi ça leur problème." "La vérité finit toujours par sortir", a-t-il poursuivi, expliquant avoir repartagé le démenti de la SNCF pour cette raison. "Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier", a-t-il rappelé.
Celui qui affirme subir "beaucoup plus de racisme en France qu’aux États-Unis" pense avoir été victime des crispations actuelles dans le pays et du climat tendu qui s’exprime désormais "dans une certaine presse". "Je pense qu’ils ne voulaient même pas faire une fake news. Je pense juste qu’il n’y avait même pas lieu de faire une enquête. Puisque c’était moi, avec ce que je suis et ce que je peux représenter, ça ne pouvait être que vrai", a confié celui qui a grandi à Trappes. Et de conclure avec une pointe d’ironie : "Et puis surtout, ça leur plaisait tellement de pouvoir raconter ça de moi, qu’ils y sont allés à fond en essayant de tâcher ma chemise, mais messieurs dames, elle est toujours aussi blanche". Le mari d’Hélène Sy semble ainsi décidé à laisser cette polémique derrière lui.
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