





Certaines années sont plus faciles à vivre que d’autres pour tout le monde. Si jusqu’à la mort de son père Jean-Paul, tout souriait à Paul Belmondo, ce dernier a été grandement challengé l’an dernier. Et les douze mois écoulés ont mis ses nerfs et son corps à rude épreuve. Cette année mouvementée, il a décidé de l’évoquer lors d’un entretien pour l’émission A la lumière des nombres, diffusée sur la chaîne ABC Talk, première chaîne digitale santé, bien-être et spiritualité, sur Youtube.
Face à l’animatrice Alexandra Gabriel, Paul Belmondo n’a pas manqué de revenir sur les tumultueux derniers mois qu’il a traversés, particulièrement sur le plan personnel. Il faut dire qu’en l’espace d’un an, il s’est séparé de Luana, la mère de ses enfants, après 33 ans de mariage et a perdu sa mère, Elodie Constantin, à qui il a rendu hommage ce 18 avril, date à laquelle elle aurait célébré son anniversaire.
Deux événements pas anodins à affronter. Mais même si le bilan n’est pas aussi bon que les autres années, Paul Belmondo a pris du recul et essaie de rester positif : “Aujourd'hui, je me sens bien même si 2024 a été une année très difficile pour moi sur plein de points de vue. C’est vrai que j’ai eu tendance à prendre beaucoup sur moi au début, c’est assez stressant et aujourd’hui, j’ai réussi à me détacher de tous ces problèmes. La seule chose dont je ne me détache pas, c’est ma mère parce que ça, c’est quelque chose de douloureux, qui reste et dont on ne peut pas se détacher.”
Malgré tout, Paul Belmondo ne s’est pas laissé abattre et là où certaines personnes auraient vite baissé les bras face aux difficultés, lui s’est battu. Seul mais il a mené le combat jusqu’au bout malgré le fait qu’il ne soit pas totalement derrière lui : “J’ai tendance à prendre les problèmes sur moi avec quelque part une certaine insouciance. Je ne sais pas si ça vient de mon père ou de mon grand-père, je n’ai pas le souvenir de les voir se plaindre de quoi que ce soit. J'ai toujours eu cette attitude là. [...] je les gère tout seul. C’est pas facile mais c’est comme ça, c’est ma force à moi de m’appuyer sur moi. Certains ont besoin de raconter leurs problèmes, moi c’est tout le contraire. J’ai besoin de les garder pour moi, de vivre avec et de les combattre tout seul.” Une méthode qui semble lui réussir !