Affaire conclue : Un secret de tournage révélé par une star du programme et on ne s'y attendait pas du tout !

Depuis l'été 2017, les téléspectateurs de France 2 ont rendez-vous quotidiennement avec l'émission Affaire conclue. Si au départ le lancement de ce programme d'enchères était un véritable pari pour la chaîne et Sophie Davant (qui l'a incarné jusqu'à en août 2023), le succès s'est rapidement installé. Et il n'a jamais été démenti au fil des saisons. Même lorsque Julia Vignali a pris la relève à la présentation, les audiences n'ont pas baissé.

Cela ne signifie pas toutefois que les fidèles d'Affaire conclue sont au fait de tout ce qu'il se passe en coulisses. Mais de temps en temps, acheteurs ou commissaires-priseurs se plaisent à livrer quelques secrets de tournage. En interview pour Télé-Loisirs, Enora Alix s'est justement confiée sur sa manière de fonctionner lorsqu'elle expertise un objet avant qu'il ne parte en vente. Et ce n'est pas forcément ce à quoi on s'attendait !

"C'est un peu la surprise, ça dépend à quelle heure le vendeur arrive et ce qu'on fait avant. Si le vendeur arrive à 15 heures et qu'on expertise l'objet à 17 heures, on aura eu plus de temps pour le voir et le manipuler. On n'a pas de travail en amont de l'émission et de toute façon, ce n'est pas un travail que l'on peut faire en amont. C'est vraiment en voyant l'objet que l'on se fait un avis, on ne sait pas ce qu'on va dire à l'avance, ce n'est pas un texte qu'on va réciter. Avant de voir Julia et d'avoir la discussion avec le vendeur, je ne sais pas ce que je vais dire", a confié la membre régulière de l'émission.

Quant à l'estimation, souvent décriée par les acheteurs et qui cause parfois des déceptions pour les vendeurs, Enora Alix assure ne jamais manquer d'objectivité et défend son rôle d'experte. "L'estimation, c'est une question d'offre et de demande que nous, on connaît à force de vendre des objets. On sait qu'il y a des choses qui sont beaucoup plus recherchées que d'autres, s'il y a plus de vendeurs que d'acheteurs, même un bon commissaire-priseur ne pourra pas faire de miracle. (...) Bien sûr, on regarde toujours l'état de conservation de l'objet", a-t-elle expliqué.