





“Une petite fille grandit en moi”, révélait Malika Ménard le 25 avril dernier, levant le suspense concernant le sexe de son futur bébé. Depuis de longues semaines, celle qui fut sacrée Miss France en 2010 promenait son joli petit ventre arrondi lors de nombreux événements parisiens, ne laissant aucun doute quant à sa grossesse.
Elle vient aujourd’hui en révéler encore un peu plus. Toujours sur Instagram, la reine de beauté vient en effet de dévoiler les contours du nid qui va accueillir ce premier enfant, en nous ouvrant les portes de son sublime appartement parisien. Un lieu baigné de lumière et décoré avec goût, loin du Maroc où elle a longtemps résidé.
Niché dans un immeuble haussmannien, sous les toits de la capitale, l’intérieur mêle avec harmonie le charme de l’ancien — parquet en point de Hongrie, moulures délicates, cheminée en marbre — et un goût prononcé pour le design contemporain. Le fil conducteur de la décoration ? La rondeur. Des canapés bouffants aux courbes enveloppantes à la table basse aux pieds sculpturaux, des fauteuils transparents aux lignes arrondies aux niches ovales de la bibliothèque sur-mesure, tout dans cet intérieur dialogue autour de formes douces, comme une ode à la féminité qu’incarne plus que jamais Malika Ménard aujourd’hui.
Les rideaux bicolores crème et rouge encadrent une vue spectaculaire sur la Tour Eiffel, tandis que les œuvres contemporaines, dont une imposante sculpture murale chromée représentant un corps en mouvement, ponctuent l’espace de touches artistiques audacieuses.
La chambre de la future “troisième habitante de la maison”, ainsi que la surnomme Malika, reprend ce langage visuel avec une tendresse infinie. Dans ce cocon, Malika Ménard a misé une fois encore sur l’élégance pour accueillir sa petite fille. Les murs sont ornés d’un papier peint pastel aux motifs de petits nœuds roses. Le berceau matelassé, surmonté d’un ciel de lit, s’accorde parfaitement aux coussins en forme d’étoiles et de nuages posés sur une chauffeuse. À côté, une petite étagère rose accueille des accessoires de naissance, tandis qu’une lampe sur pied, décorée d’un mobile nuage aux gouttelettes suspendues, sur lequel on peut lire “Chut, je rêve”, vient parfaire l’ambiance.
Chaque détail, du choix des couleurs poudrées aux messages brodés comme «You are so loved», traduit l’amour et l’émotion d’une future maman qui s’apprête à vivre l’une des plus belles aventures de sa vie. Une aventure qui la comble. Avant que son enfant ne voie le jour, elle s’adresse déjà à la petite dans un message publié ce dimanche 18 mai, accompagné d'une photos d’elle, soulignant son ventre : “Merci de m’avoir choisie mon enfant pour être ta maison”, écrit-elle.
Celle qui fêtera ses 38 ans le 14 juillet prochain s’est déjà longuement épanchée sur l’heureux événement qu’elle s’apprête à vivre. “Un miracle a pris vie à l’intérieur de mon corps et ma plus belle histoire d’amour a débuté”, confiait-elle en avril dernier sur Instagram. Quelques semaines plus tôt, elle avait avoué à ses followers qu’avant de rencontrer Karim, celui qui s’apprête à devenir l’heureux papa, elle avait “un peu fait le deuil des relations amoureuses, du couple... d’avoir un enfant parce que trop de déceptions multiples et puis, j’avais également arrêté la pilule deux ans avant sans avoir mes règles... fait de multiples examens pour comprendre ce qui clochait... et que l’on ne comprenait pas.”
Il semble qu’avec Karim, un homme d’affaires belgo-marocain de 50 ans, dont elle a révélé l’existence en juin dernier et qu’elle a épousé un mois plus tard, les choses se soient débloquées. Et l’aventure s’annonce grandiose, puisque ce dernier est déjà le père de six enfants.
“La tribu de mon mari interroge. Ça sort des standards classiques actuels, une famille si nombreuse. Bien sûr qu’au début, j’appréhendais d’intégrer autant d’enfants dans ma vie. J’avais peur de ne pas donner assez d’attention à chacun. Mais si vous les connaissiez, tout vous semblerait évident. Et en fait, je suis rassurée de savoir que mon enfant viendra au monde avec des grands frères et grandes sœurs aimants et bienveillants.” Et de surcroît, dans un nid on ne peut plus douillet.