





La télévision d'aujourd'hui est incontestablement bien différente de celle d'il y a 40 ans ! Lorsqu'il a été révélé sur Antenne 2 (ancien nom donné à France 2), Antoine de Caunes était certes déjà un bout-en-train, mais qui manquait un brin de confiance en lui. Alors, pour se sentir plus libre en direct, il lui est arrivé de contourner les règles. Comment ? En consommant de la drogue.
L'animateur s'est confié sur ses excès passés dans l’émission On refait la télé, ce samedi 10 mai, sur RTL. Face au journaliste Éric Dussart, il a révélé sans détour : "Ça m'est arrivé une fois ou deux, il y a très longtemps, à l'époque de Chorus ou des Enfants du Rock". Si à l'époque, Antoine de Caunes, qui prépare actuellement un projet secret avec sa fille et son gendre, a trouvé cette idée géniale, ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui.
Toujours au micro de RTL, celui qui est récemment devenu grand-père a alerté les auditeurs : "Je ne conseille ça à personne". En repensant à cette époque où il était sous substances, Antoine de Caunes ne peut s'empêcher d'être rongé par la honte, comme il l'a confié : "On se croit meilleur qu'on est, on se dit que c'est tellement génial, mais en fait c'est pathétique. Quand on regarde ça après à froid, c'est terrible".
Éric Dussart en a d'ailleurs profité pour demander à son invité quelle était sa relation avec la drogue. À cette question, Antoine de Caunes a tenu à rétablir la vérité : "C'était pour essayer. Je n'ai jamais été addict".
Aujourd'hui, l'animateur qui vient de sortir une BD baptisée Il déserte - Georges ou la vie sauvage, déclare ne plus toucher aux substances illicites, étant "extrêmement sensible aux produits psychotropes". Néanmoins, il se laisse tout de même une blague : "Je me contente juste de rosé Garcia de temps en temps".
D'ailleurs, l'animateur, qui possède une maison dans une ville huppée située à 2h30 de Paris, a également mis un terme à la rumeur qui prétend qu'à l'époque, tout Canal+ baignait dans la drogue. Il a ainsi déclaré : "Je n'ai jamais vu de saladiers de cocaïne. Ils étaient dans la légende et la malveillance de nos concurrents. Il y avait quelques substances qui traînaient de temps en temps". Voilà qui est dit !