Nouveau coup dur pour Virgilia Hess. Comme elle l'a dévoilé en début de semaine, elle a été contrainte de retourner à l'hôpital à la suite de sa mastectomie. Et les dernières nouvelles ne sont pas bonnes.
Alors qu'elle était enceinte de six mois, la présentatrice météo de BFMTV s'est battue contre un cancer du sein de stade 3. Une bataille qu'elle a remportée, puisqu'elle est en rémission depuis juin dernier. Mais, dans l'espoir d'éviter toute récidive, Virgilia Hess avait pris la décision de subir une double mastectomie. Si les jours qui ont suivi se sont relativement bien passés, la nuit du 1er au 2 avril a été difficile pour Virgilia Hess. "J'ai vraiment passé la pire nuit depuis mon opération il y a huit jours. Je n'ai plus de drains de redon [un système de drainage conçu afin d'éliminer l'accumulation de liquides corporels dans une zone opérée, NDLR] depuis hier, mais de retour à Curie pour un contrôle car la douleur s'est vraiment accentuée depuis le retrait des drains", avait-elle révélé. Après quoi, elle a dévoilé à sa communauté qu'elle était de nouveau hospitalisée à la suite de complications.
Des complications qu'elle a révélées ce vendredi 4 avril 2025 dans une longue publication qu'elle a appelée "Galère de boobs numéro 43728". Virgilia Hess a confié dans un premier temps qu'elle ne donnait des nouvelles que maintenant, car elle n'avait '"vraiment pas la force d'écrire avant". Si d'ordinaire, elle résiste bien à la douleur, elle assure que "ces derniers jours ont été un vrai cauchemar". "La douleur était insupportable : j'étais comme paralysée du côté gauche et j'avais le sein rouge (le gauche (...) celui où il y avait la tumeur qui a été irradiée, ce traître qui continue de m'enquiquiner - pour rester polie - et qui cherche à me tuer !)", a-t-elle précisé. Et d'ajouter qu'elle était en plus "essoufflée au point d'avoir du mal à respirer, avec de la fièvre et cette sensation atroce qu'on [lui avait] arraché le sein". Elle a bien tenté de soulager ses maux avec des antidouleurs, mais rien n'y a fait.
"Au fil des heures, ça n'a fait qu'empirer. Résultat, j'ai dû retourner en urgence à l'Institut Curie. Là, on a vite compris que je faisais visiblement une infection de prothèse", a poursuivi la maman de Léna-Rose. Son médecin lui a expliqué que ce genre de complications pouvaient arriver et qu'à ce stades, les antibiotiques n'étaient pas efficaces, la prothèse étant déjà contaminée. "Il n'y a pas d'autre solution : il faut la changer. Du coup, je repasse au bloc en urgence aujourd'hui pour l'enlever. Franchement, c'est un coup de massue. Moi qui pensait avoir surmonté une nouvelle étape, me revoilà clouée au lit à l'hôpital pour plusieurs jours. J'ai l'impression de faire marche arrière. (...) Allez forza ! Cette fois-ci sera la bonne !", a-t-elle écrit avant de remercier toutes les personnes qui la soutiennent.
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