Endetté, Stéphane Bern a été contraint de vendre son mobilier : des objets exceptionnels mis aux enchères

Stéphane Bern est de retour sur le petit écran, ce mercredi 2 juillet à partir de 21h05 sur France 3, pour révéler le nom du village préféré des Français en 2025. Lui s'est pour rappel installé dans la charmante commune de Thiron-Gardais, en Eure-et-Loir, où il a été élu au conseil municipal et où il a rénové un collège royal et militaire. Ce qui lui a alors coûté une sacrée somme puisqu'il doit désormais rembourser 4 millions d'euros sur vingt-cinq-ans.

Pour financer sa propriété du Perche, il a dû vendre sa jolie maison située à Paros, dans les Cyclades en Grèce, et mettre tout le mobilier de son hôtel particulier du 9e arrondissement de Paris aux enchères. On parle alors d'"Un tableau peint par l'atelier de Martin van Meytens, représentant la grand-mère de Marie-Antoinette (30 000 euros), un portrait de Marie-Adélaïde de Savoie, la mère de Louis XV (7 000 euros), un paysage boisé signé Eugène Boudin (15 000 euros), un bureau plat en acajou d'époque Louis XVI (15 000 euros) ou encore un lustre en bronze doré d'Hervé Van der Straeten (15 000 euros) et une paire de tables marguerite d'Hubert le Gall (12 000 euros).", détaille Le Point.

Sans oublier des objets plus abordables, comme "cette salière-poivrière représentant Louis XIV et Madame de Montespan (200 euros), des paniers à chiens en tissu tartan provenant de Buckingham Palace (60 euros), une assiette commémorant le jubilé d'or de la reine Victoria (300 euros) et des portraits de l'archiduc Charles et de l'impératrice Zita (800 euros)…"

L'occasion de rappeler, en s'appuyant sur les informations de La Gazette Drouot, que le compagnon de Yori Bailleres aura passé dix-huit ans dans ce lieu historique de Paris construit au XVIIIe siècle par l’architecte Pierre Rousseau pour être sa maison de villégiature, et où vécurent par la suite Victor Hugo ou Eugène Isabey. 

"Quand j'ai acheté cet appartement, j'ai confié la décoration à Cyril Vergniol qui a fait ses armes chez Alberto Pinto. Il a respecté mes goûts : c'est du classique contemporain chic. Il a mélangé du mobilier chiné ancien, mes chaises Louis XVI (on ne se refait pas !) avec des éléments de designers contemporains : des appliques de Van der Straeten, des pièces de Hubert Le Gall, une table basse de Ado Chale, un véritable objet d'art... ", avait raconté le célèbre animateur à Côté Maison.

Il a donc depuis élu domicile à l'Ouest de la capitale.