Il y a des années qui marquent plus que d’autres. Si pour certains il s’agit de celle lors de laquelle ils sont se mariés, pour d’autres la naissance d’un enfant change le quotidien à jamais. Pour Jordan Mouillerac, 2025 restera inoubliable. Le danseur star de Danse avec les stars, qui a remporté la 14e saison aux côtés de Lénie, a accueilli son premier enfant le 9 juillet 2025. Une petite fille prénommée Noa, qu’il a eue avec sa compagne, Jessica Senetaire. Sur Instagram, le couple avait annoncé la naissance avec des mots simples et puissants. "Notre plus belle victoire. Ton arrivée scelle notre plus belle aventure : notre famille", écrivait la jeune femme sous une photo remplie de tendresse. Déjà maman d’une petite Lara, née d’une précédente relation, elle retrouve ainsi les joies des biberons et des câlins contre son nourrisson.
Mais derrière ces moments de joie, il y a eu un instant de doute, d’inquiétude et d’incompréhension. Dans une vidéo publiée le 4 août 2025 sur son compte Instagram, la compagne de Jordan Mouillerac dévoile les premiers instants de vie de Noa. Mais voilà que Jessica Senetaire précise que sa fille est née avec une marque visible sur sa peau. "Noa est née avec une particularité… Un dessin sur la peau. Un angiome plan. Il couvre son bras, sa main, son épaule, une partie de son torse. Il est là, bien visible, comme une signature que la vie lui a laissée”, décrit-elle. Alors même si elle est consciente qu’il s’agit simplement d’une différence esthétique, la jeune maman est inquiète : “Peur à cause du monde. Du regard des gens. Des questions qu’on lui posera."
Un témoignage touchant, qui se transforme en message d’amour et d’acceptation pour la compagne de Jordan Mouillerac. "Elle est unique. Et si la différence fait parfois peur, elle fait surtout la beauté du monde. (…) Elle grandira avec cette couleur en plus. Et nous, nous serons là pour l’aimer, la rassurer, lui rappeler chaque jour à quel point elle est belle." Une déclaration puissante, saluée par de nombreux internautes, et qui rappelle à quel point les "imperfections" ne sont parfois que des marques de singularité.
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