






Après des mois d'attente, Christophe Dechavanne a été fixé sur son sort le 20 février dernier. Pour rappel, l'animateur de 67 ans était jugé devant le tribunal correctionnel de Moulins pour "conduite d'un véhicule en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants en récidive commis le 17 août 2024 à Toulon-sur-Allier". La sentence est alors tombée : il été reconnu coupable et a été condamné à 120 jours amende de 10 euros - soit 1200 euros -, une annulation de son permis de conduire avec impossibilité de le repasser avant six mois et la confiscation de son véhicule. Une décision dont il fait appel. Depuis, l'acolyte de Léa Salamé a fait de grands choix, notamment au niveau professionnel. Et dans ces moments particuliers, il peut compter sur le soutien indéfectible d'un proche et non des moindres puisqu'il s'agit de sa fille Ninon Dechavanne.
Dimanche 2 mars 2025, la charmante brune s'est saisie de son compte Instagram. En story, elle poste alors une photo d'elle accompagnée de son cher père. Et en légende, elle lui adresse de tendres mots : "Merci pour vos messages de soutien. Je suis et serai toujours fière de mon père. La présomption d'innocence est un droit français. Je ne vais pas écrire pour lui mais Papou je suis à tes côtés." Un message qui a, sans aucun doute, mis du baume au cœur de Christophe Dechavanne. Toutefois, il ne s'est pas exprimé sur les réseaux sociaux. Il faut dire qu'il s'y fait discret, son dernier post Instagram - la photo d'un chat dans un lavabo - date du 16 février dernier, soit quelques jours avant le verdict.
Rappelons qu'après la décision de justice, Christophe Dechavanne a pris une grande décision, celle de se mettre en retrait de Quelle époque ! Ses proches indiquaient alors au Parisien les circonstances de ce choix : "C'est sa décision. Il ne veut pas que son affaire ne vienne perturber la chaîne et l’émission", apprenait-on. Samedi 1er mars, sur le plateau de l'émission, il a alors annoncé quitter, du moins provisoirement, l'antenne et s'est expliqué : "J'ai été jugé pour une infraction au code de la route au tribunal de Moulins. Depuis, je suis un peu traité comme si j'étais un criminel en gros, comme si j'avais fait beaucoup de choses. En tout cas, je rassure tout le monde, je n'ai frappé personne, je n'ai même pas froissé une tôle, et ce jugement il y a un appel en cours et je suis obligé de dire et de répéter que je suis présumé innocent. C'est un droit universel et ce droit universel il faut aussi qu'il s'applique à moi." Par ailleurs, Christophe Dechavanne s'est montré formel : "Je confirme ici, pour tous ceux qui en douteraient, que je le pense très sincèrement, que la drogue c'est de la merde."
Christophe Dechavanne reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu'au jugement définitif de cette affaire.