Ce mardi 27 février 2024, TF1 diffuse déjà le troisième épisode de Koh-Lanta, Les Chasseurs d'immunité. Lors des deux premiers numéros, plusieurs événements ont déjà eu lieu. Steve a été le premier éliminé, Alicia a également été virée de son équipe au conseil et le médecin a été appelé à plusieurs reprises. Notamment lorsque David s'est blessé au doigt avec la machette. Un comble pour ce boucher-charcutier ! Sur les réseaux sociaux, il s'était amusé de la situation. D'ailleurs, il y partage de temps à autre quelques images de son quotidien. C'est là que de vieilles photos sont retrouvées. Dessus, il est méconnaissable !
David, c'est "100 kilos de bonne humeur et de simplicité" comme l'indiquait le communiqué de presse envoyé en marge de la diffusion de Koh-Lanta, Les Chasseurs d'immunité. Il y a bien longtemps, il affichait une apparence différente. Sur son compte Facebook, des images publiées il y a près de 10 ans interpellent.
Sur ces dites photos, l'aventurier de l'équipe rouge des Matukad de 36 ans apparaît le visage plus fin, la silhouette aussi. Et surtout, les cheveux rasés. Une toute autre époque, puisque les clichés datent de 2015. David prend la pose en t-shirt bleu, sourire aux lèvres et son fils dans les bras. Sur une autre image, ce père de famille se dévoile en veste de costume noire et jean, la silhouette toujours aussi mince. Un physique qu'il affiche toujours en 2018, lorsqu'il apparaît au côté de Didier Massot, célèbre boucher déjà élu Meilleur ouvrier de France. Difficile de reconnaître cet apprenti Robinson qui a désormais la carrure d'un rugbyman, sport qu'il pratiquait avec ses enfants dans son portrait.
Méconnaissable sur de vieilles photos, mais lorsqu'il a débarqué dans Koh-Lanta, Les Chasseurs d'immunité, certains ont cru le reconnaitre. Le visage de David n'est pas inconnu pour beaucoup de téléspectateurs qui l'ont déjà vu à la télévision. En novembre 2022, ce boucher-charcutier était invité sur le plateau de BFMTV Alsace afin d'évoquer les factures d'électricité trop élevées pour les commerçants. Deux mois plus tard, il était de nouveau venu intervenir pour les mêmes raisons. "Aujourd'hui, on travaille pour payer l'électricité. C'est aberrant. Je veux dire, si demain on a un pépin ou quoi que ce soit, on ne peut plus réagir. On est sur la corde raide toute l'année. Ça, c'est trop compliqué pour nous", avait-il regretté.
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