Louis Sarkozy vient tout récemment d'annoncer sa candidature à Menton pour les élections municipales de mars 2026. Le fils de l'ancien président de la République l'a fait savoir lundi dernier, sur les réseaux sociaux. "Je ne suis Mentonnais ni de lignée, ni d’origine, ni de naissance, ni d’éducation d’adoption", a assuré le chroniqueur de Valeurs actuelles dans une vidéo le mettant en scène avec sa femme dans cette ville située à la frontière italienne.
Avec Natali, il va prochainement devenir papa. Une naissance prévue pour "fin octobre", comme l'indiquent nos confrères de Paris Match, eux qui sont partis à la rencontre du couple. Une rencontre à découvrir dans le numéro de demain du magazine mais déjà disponible dès ce soir sur le site du magazine. On apprend également que ceux qui sont en couple depuis 2017 et mariés depuis 2022 se sont "enfin accordés sur un prénom". Ce qui n'était pas gagné, étant donné que les conditions étaient strictes. En effet, "celui-ci ne devait pas être commun mais romain, avoir une connotation slave et africaine - hommage à l'enfance de Natali - et ne pas excéder deux syllabes afin d'éviter les surnoms."
"'Marcus' a tenu la corde les six premiers mois de la grossesse mais c'est finalement 'Sylla' qui a été élu", annonce le magazine, tout en précisant que ce prénom signifie "force". Mais Louis Sarkozy annonce qu'il y a un "petit hic tout de même", à savoir que "Sylla est vu comme un dictateur romain qui a pris le pouvoir et massacré ses ennemis politiques". Leur fils aura donc la lourde tâche de donner à ce prénom une image davantage positive.
Mais il faudrait tout d'abord que ce bébé naisse ! Ce qui est donc imminent, ce qui ne veut pas dire pour autant que le couple est déjà totalement préparé à l'accueillir. En effet, sa chambre "n'est pas encore prête". Natali "ne réalise pas encore le chamboulement qui les attend". Elle se dit toutefois qu'elle n'est pas la première, et qu'elle ne sera ni la dernière : "Si autant de personnes l'ont fait avant moi, je peux le faire aussi."
Challenge excitant donc pour cette "pianiste de formation", qui a "terminé un master ultrasélectif dans le développement international, tout en travaillant à temps plein en parallèle pour un think thank saoudien et une entreprise de développement international", avant de démissionner "au moment de rejoindre la France". Et c'est à ce moment-là qu'elle est tombée enceinte.
"Timing parfait" pour la Croate "qui se donne jusqu'à janvier avant de reprendre une activité". "Pas question" donc de "rester au foyer pour celle qui a grandi avec une mère également pianiste et fondatrice de plusieurs écoles de musique et orphelinats en Afrique, et toujours en activité à presque 70 ans". Elle est également prête à soutenir son célèbre mari dans sa candidature.
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