Martin Bourboulon ne pouvait certainement pas rêver meilleure publicité pour son film que la montée des marches offerte par son actrice principale, Lyna Khoudri. Lors du dernier Festival de Cannes, la comédienne de 32 ans est arrivée au bras de son nouveau compagnon, la star du football, Karim Benzema. Les deux tourtereaux ont ainsi officialisé leur histoire d’amour et visiblement, les choses vont très vite entre eux.
D’après les informations de Paris Match, Karim Benzema et Lyna Khoudri vont se marier dans un lieu de rêve et c'est imminent ! Selon nos confrères, le couple aurait commencé à se fréquenter discrètement depuis au moins octobre 2022 et ils auraient décidé de se marier en Corse. Alors que son film 13 jours, 13 nuits, où elle partage l’affiche avec Roschdy Zem, l’actrice née à Alger a accordé une interview au Parisien dans laquelle elle revient sur cette fameuse montée des marches à Cannes. Lorsque nos confrères lui demandent pourquoi elle a tenu à rendre public leur amour, elle répond avec franchise : “J’avais envie de vivre ce moment avec lui. Martin (Bourboulon) a monté les marches avec sa femme juste avant moi. Ce sont des instants où l’on a envie d’être avec les gens qu’on aime. Le plus simplement du monde.”
Alors qu’un selfie hors tapis rouge de Lyna Khoudri et Karim Benzema que personne n’a vu a été diffusé dernièrement, l’actrice assume pleinement ce coup médiatique à Cannes. “Ce n’est pas parce que ça fait plus de bruit qu’on ne peut pas se le permettre. On ne se pose pas ces questions-là. Ce sont des beaux souvenirs à créer, quelques minutes de temps suspendu, de magie”, explique-t-elle.
Dans cette même interview, la future femme de Karim Benzema évoque ensuite sa carrière et le fait qu’elle tourne moins que certains acteurs ou actrices français. “J’ai horreur d’inonder la toile. Je suis admirative d’acteurs comme Daniel Day-Lewis, qui sont capables de partir pendant quatre ans, on ne sait pas où, et de revenir pour remporter un Oscar. Ce métier, c’est raconter la vraie vie, et si l’on ne s’en nourrit pas, moi, je sèche”, explique Lyna Khoudri, revenue sur son officialisation au Festival de Cannes dans Quotidien, avant d’ajouter : “On est quand même des intermittents. J’aime ce mot. Je ne suis pas là tout le temps. Pour repartir avec la même niaque, la même flamme, je dois traverser la peur.”
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