






Caroline Roux n'est plus à présenter. Figure incontournable du paysage audiovisuel, elle est toute la semaine à l'antenne sur France 5, à la présentation de C dans l'air. Elle a également décroché pour France 2 un rendez-vous mensuel après le journal de 20 Heures de France 2, L'Evénement.
Mais Caroline Roux n'a pas toujours été tournée vers le journalisme. C'est ce qu'on apprend à travers une vidéo postée sur son compte Instagram. "Il y a quelque chose que vous ne savez pas : j'ai été chanteuse", apprend-t-elle à ses abonnés.
Et de s'expliquer sur sa courte carrière dans la musique : "Enfin, j'ai chanté quand j'étais jeune. J'étais dans un groupe à Grenoble et j'adorais ça. Et on faisait de la scène. C'était vraiment une période de ma vie ultra heureuse. J'ai adoré faire des concerts dans des endroits pas possibles où il y avait quinze personnes dans la salle et je me donnais comme si j'étais à Wembley".
Mais ce n'est pas tout ! L'épouse de Laurent Solly, ex-directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à l'UMP et aujourd'hui directeur général de Facebook France, a également enregistré "quelques titres dans un studio avec un producteur". "Un jour, il m'a dit : 'Allez viens, on fait une vraie belle maquette'. Et donc on est rentrés dans son studio qui était son salon et on a enregistré quelques titres ensemble".
Caroline Roux a finalement mis fin à ses rêves de chanteuse lorsqu'elle a été recrutée chez Europe 1. "Ça me manque ! Mais bon, je chante maintenant sous ma douche et dans ma voiture également, dès que je sors de C dans l'air. Ça me permet de me lâcher, de faire retomber la pression", confie-t-elle encore.
Dans sa vidéo, Caroline Roux s'est en tout cas replongée dans sa jeunesse en écoutant ses chansons. Un style rock qui a beaucoup plu à ses abonnés. "C’est trop chouette", "Je suis fan !", "Ohh ouiiii, génial.. un don de plus chère Caroline", "Trop cool !!! Comme quoi ne pas se fier aux apparences, derrière la journaliste sérieuse se cache une artiste rock and roll", peut-on lire dans son fil de commentaires. De quoi pourquoi pas pousser la journaliste à s'y remettre !