Périco Légasse et sa femme Natacha Polony en conflit avec un des plus grands patrons français : le millionnaire évoque un acharnement

Le journaliste et chroniqueur gastronomique Périco Légasse, qui souffle sa 66ème bougie ce vendredi 21 mars 2025, reproche depuis quelques années déjà au célèbre dirigeant de Leclerc Michel-Edouard Leclerc de manquer de compassion et de respect envers les familles qui ont peu de moyens.

"Il se fait des milliards sur le dos des pauvres en leur vendant des produits infâmes", avait-il déploré sur RMC dans Estelle Midi en janvier 2022, en ajoutant que "le cynisme de Michel-Edouard Leclerc relève du génie". Pour rappel, la marque Leclerc a vu son chiffre d'affaires bondir de 8,5 % pour atteindre les 55,6 milliards d'euros en 2022.

En 2015, alors que Périco Légasse avait déjà Michel-Edouard Leclerc dans sa ligne de mire, ce dernier était sorti du silence dans sa tribune De quoi je me M.E.L, en mettant par la même occasion sa célèbre épouse Natacha Polony dans le même panier.

"Périco Légasse n’aime pas les supermarchés et il le dit. C’est son droit. Il aime la bonne bouffe. C’est super, moi aussi. Mais pourquoi, pour exister, se sent-il obligé de jeter l’opprobre sur moi ? Sur LCI ou BFM, il enfile régulièrement les perles sur la soi-disant nocivité de la grande distribution, à la manière d’une Natacha Polony qui me ressasse les chroniques éculées de la disparition du 'gentil-petit commerce de centre-ville' à chaque fois que je passe sur Canal Plus (...) Je ne sais ce que je lui ai fait  (je ne le connais pas…), mais Périco Légasse a semble-t-il trouvé sa marotte en s’acharnant à me désigner comme le bouc émissaire de ses angoisses", avait-il regretté. 

Sur le fameux divan de Marc-Olivier Fogiel, l'année suivante, Michel-Edouard Leclerc était allé beaucoup plus loin, en le traitant de "salopard". "Ce mec-là me met au bout de la fourche", avait-il ajouté, avant de toutefois reconnaître qu'il ne devrait pas "se lâcher comme ça". Vous l'aurez compris, ce n'est pas l'amour fou entre ces deux hommes...