





C’est à l’âge de 43 ans, qu’Emilie Dequenne nous a quittés le 16 mars 2025. Après des mois de combat acharnés contre son cancer, elle s’est éteinte, laissant son mari, Michel Ferracci et sa fille unique, Milla, fruit de son amour avec Alexandre Savarese, dans un deuil immense. Ce vendredi 9 mai 2025, les téléspectateurs vont pouvoir admirer l’actrice lors d’un épisode de la série Capitaine Marleau. A cette occasion, Michel Ferracci a décidé de briser le silence et s’est confié à nos confrères de Gala en exclusivité. Alors qu’il est en tournage, le comédien indique devoir travailler pour pouvoir faire face à son chagrin : “Je m’accroche, je n’ai pas le choix. Et puis, je vais vous dire une chose : quand vous fréquentez les hôpitaux durant plus de deux ans et que vous voyez ce que j’ai vu, vous vous dites qu’il faut continuer à profiter de la vie”, commence-t-il par déclarer.
Michel Ferracci se souvient alors des jours précédents la mort d’Emilie Dequenne : “Cinq jours avant de partir, le 11 mars dernier, jour de mon anniversaire, elle me chantait encore ‘j’aime, j’aime la vie’”, se souvient avec tendresse le comédien. Bouleversé par la perte de son épouse, l’acteur précise qu’Emilie Dequenne n’a “montré aucun signe de fatigue” lors du tournage de l’épisode de Capitaine Marleau. Combative, elle se voyait encore vivre, des années supplémentaires : “On avait des projets pour la suite. Bien sûr, on savait l’un et l’autre que ce n’était pas gagné, qu’il fallait rester mesuré”. Il faut dire que les épreuves ont marqué son couple : “Un an auparavant, on nous a expliqué que ce cancer était agressif et qu’Emilie ne pouvait survivre que quelques mois”.
Mais avec sa force et son courage, Emilie Dequenne s’est battue contre une lionne. “Emilie et moi étions si heureux d’avoir avec nous Milla, que j’ai élevée et qui est comme ma fille. Elle vit toujours avec moi. Tout allait si bien…”. Malheureusement, la vie en a décidé autrement : “Depuis qu’elle est partie, j’ai revu certains de ses films, quand elle avait les cheveux longs. Et sur ce Marleau, ses cheveux n’avaient pas encore bien repoussé après la chimio. Ce n’était pas un choix. Bien sûr qu’elle était très belle, mais à la fin de sa vie, elle était également comme ça et pour moi, c’est très difficile”. Des confidences à coeur ouvert et si bouleversantes.